Un petit cochon marron sur un lit, un serpent sur un sac de frappe, une tarentule sur une table, voici quelques uns des improbables animaux de compagnie qu’Areca Roe a pris en photo au domicile de leur propriétaire.
Sous les néons d’un club chinois, Sergey Melnitchenko nous invite à passer dans les coulisses pour y découvrir la vie des travailleurs de la nuit.
Avec sa série « Neon » réalisée avec des drones en light-painting, Ludwig Favre ouvre une parenthèse fantastique dans les paysages classiques. Des compositions simple: un milieu naturel surplombé d’un anneau de lumière.
A travers ses portraits, Berta Vicente focalise son attention sur les visages, mis en scène dans des compositions où l’être humain apparait dans toute sa solitude. Un regard bienveillant posé sur les êtres et leurs blessures intérieures qui transparaissent sur leur visage.
La série « Homes at night » de Todd Hido présente sans ambiguïté son sujet : des maisons vues de nuit. Des photos qui jouent sur leur banalité, des photos de choses que nous connaissons tous, et qui amènent ainsi le spectateur à se construire son propre récit.
Comme son nom l’indique « Urban Impressions » a pour sujet la ville. La ville en mouvement, saisie à travers ses reflets dans les vitres des bâtiments, à travers des superpositions qui transforment l’espace et faussent la perspective.
À travers 58 pays, le photographe italien Gabriele Galimberti rencontre des enfants et les photographies avec leurs jouets, une façon de montrer les inégalités sous un nouvel angle.
Dans ses différentes séries telles que Cracks, Ice ou encore Changes, le photographe Tobias Häggs saisit les paysages vu du ciel, transformant ces territoires saisis en images abstraites dont la somptuosité rend hommage à la magnificence de la nature.
« One day in Paris », un voyage à travers les décors de la ville lumière avec Erlend Mikael Saeverud
De la street-photographie aux airs de shootings plateaux, c’est l’impression première que donne la nouvelle série photo « One Day in Paris » de Erlend Mikael Saeverud. Des hommes et des femmes émergent de ruelles sombres, des silhouettes s’avancent dans le dédale urbain, et la ville apparait comme un vaste labyrinthe de couleurs, de lumières tranchées au couteau et d’ombres portées avec la noirceur de taches d’encre s’étendant sur le trottoir.
Deux portraits, une seule personne, deux genres ; c’est l’objectif du projet « HENKO » mené par le photographe Massimo Giovannini. Sur son site officiel l’artiste explique : « Henkō est un mot japonais composé par les kanjis 変 Hen, qui signifie « changement », et Kō, qui signifie « lumière variable / inhabituelle ».
2min20 pour partager un regard personnel. Voici le brief du Nikon Film Festival, qui propose aujourd’hui sa 9e édition sur le thème du « partage ». La première phase, celle des soumissions, est désormais close, et il est désormais possible pour le public de voter pour les meilleurs cours métrages.
La série « Temps d’arrêt » d’Etienne Buyse, finaliste du LensCulture’s Street Photography Awards 2017, offre à première vue au « regardeur » ainsi que le définissait Duchamp (celui qui prends le temps de regarder à la différence du « voyeur ») la banalité de l’attente. Mais ce temps de pose ouvre un nouvel espace, celui du temps de regard sur l’espace urbain et les individus qui le peuplent.
Olivier Sautet partage dans Pulse, une vidéo tournée aux quatre coins du monde (Tahiti, Hawaii, Iceland, Canada, ile Maurice…) avec différents sportifs, la passion qui les relie tous : la mer.
Les photographies surréalistes de l’artiste suédois Erik Johansson invitent à un voyage en apesanteur aux frontières du réel.