Lancé par la Fondation James Barnor, le Prix du même nom continue sa vocation cette année en récompensant un artiste africain pour lui offrir un coup de projecteur, et par la même occasion visibiliser la culture photographique africaine à l’internationale. Le Prix James Barnor 2023 est décerné à Mário Macilau, artiste et activiste mozambicain au travail photographique saisissant.
Des milliers de portraits s'agrègent maintenant dans Humanæ pour célébrer nos diversités et nos couleurs. Grâce aux photos d'Angélica Dass et aux gammes Pantone, toutes les nuances de nos peaux humaines sont affichées dans une mosaïque photographique globale et colossale.
La Galerie Photo Polaris accueille une exposition personnelle du photographe Ruddy Roye : When Living is a Protest. L'occasion de découvrir pour la 1e fois en Europe le travail du photographe, mais aussi de commémorer le Black History Month.
La Galerie Sit Down accueille l’exposition Snatch out of time consacrée à Tom Wood, à l’occasion de la sortie du livre éponyme aux éditions Super Labo. L’exposition réunit une vingtaine d’images, constituant des tirages inédits encore jamais présentés. Intégrée dans le parcours PhotoDays, l’exposition dure du 18 novembre au 14 janvier 2023.
Le Prix Caritas Photo Sociale lance son appel à candidature 2021. Il inaugure la 2ème édition du Prix photo, qui donne de la visibilité à la pauvreté, à la précarité et à l’exclusion en France. Avec un mot d'ordre : rechercher de nouveaux regards, de nouvelles approches et une diversité d’écritures de la photographie sociale. Les entrées sont ouvertes jusqu’au 16 mai 2021.
Au Pavillon Carré de Baudouin, l’exposition Willy Ronis par Willy Ronis ouvre ses portes du 27 avril au 29 septembre 2018. L’occasion de découvrir le travail et la vie de ce grand photographe français. Représentant de la photographie humaniste française, Willy Ronis est connu pour son engagement, ses photographies de...
Dans la série photo contemporaine "Golden Age", le photographe berlinois Gunnar Krueger s'interroge sur la campagne électorale de 2016 de Donald Trump et sur son élection. "Golden Age" tend à représenter l'illusion américaine, celle vendue par la campagne de Donald Trump, et celle du rêve américain que promeut la ville de Las Vegas. Pour exprimer son témoignage sur ce fait de société, Gunnar Krueger mêle photographie sociale et photographie de rue.
Le Prix Caritas pour la photographie sociale a annoncé les lauréats et finalistes de sa toute 1ère édition autour de la précarité, de la pauvreté et de l'exclusion en France. Aglaé Bory a remporté le Prix avec sa série Odyssées, qui retrace l'exil.
Le photographe Christophe Hargoues s’est rendu dans une résidence pour personnes atteintes de maladies neuromusculaires dégénératives. Touché par leurs univers à tous, l’artiste a souhaité faire un portrait personnalisé à chacun. Le résultat est publié dans la série EXTRA/ordinaire qu'il nous présente.
Revue de livre : Justice et Respect, Le Soulèvement des Gilets Jaunes photographié par Brice Le Gall
Les éditions Syllepses, maison d’édition pensée comme une coopérative en faveur des livres engagés, mettent en lumière les Gilets Jaunes et leur engagement. Ouvrage mêlant enquêtes sociales, portraits rédigés et photographies monochromes, "Justice et Respect, Le Soulèvement des Gilets Jaunes" revient sur une mobilisation inédite et ceux qui ont secoué la France à l’automne 2018.
La Bibliothèque François Mitterrand réunit les travaux des 200 photographes missionnés par le ministère de la Culture dans le cadre de la Grande commande pour le photojournalisme. L’exposition « La France sous leurs yeux » porte bien son nom : il s’agit d’un véritable panorama du pays au sortir de la crise sanitaire.
Le Prix Caritas Photo Sociale vient d'annoncer le lauréat et les finalistes de sa 4e édition. Anaïs Oudart remporte le Grand Prix pour sa série Héroïnes 17, dans laquelle elle documente les difficultés des femmes issues de l'Aide sociale à l'enfance. Sarah Leduc et Mat Jacob arrive en seconde et troisième place avec leurs séries Ailleurs ici et Thierry et la violence du monde.
Commencé en 2007, le projet Hecho en Barrio de Jean-Félix Fayolle fait l’objet d’une publication aux éditions Revelatœr. Travail photographique au long cours sur la jeunesse des quartiers populaires du Mexique, Hecho en Barrio s’inscrit dans une démarche documentaire et journalistique, sans pour autant que Jean-Félix Fayolle cède au spectaculaire.
Dans cet article, nous vous présentons l'histoire d’une photographie prise en 1982 par le plus grand des hasards. Elle a participé par la suite à faire évoluer le droit des femmes avec notamment l'adoption du « Violence Against Women Act ».
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