Deux portraits, une seule personne, deux genres ; c’est l’objectif du projet « HENKO » mené par le photographe Massimo Giovannini. Sur son site officiel l’artiste explique : « Henkō est un mot japonais composé par les kanjis 変 Hen, qui signifie « changement », et Kō, qui signifie « lumière variable / inhabituelle ».
La série « Homes at night » de Todd Hido présente sans ambiguïté son sujet : des maisons vues de nuit. Des photos qui jouent sur leur banalité, des photos de choses que nous connaissons tous, et qui amènent ainsi le spectateur à se construire son propre récit.
Un petit cochon marron sur un lit, un serpent sur un sac de frappe, une tarentule sur une table, voici quelques uns des improbables animaux de compagnie qu’Areca Roe a pris en photo au domicile de leur propriétaire.
Loin des clichés d’un pays surpeuplé et en perpétuelle effervescence, Roberto Badin capture un Japon fait de silence et de solitude quotidienne, rythmé par les us et codes rigides que les japonais utilisent entre eux.
La web-série « j’irai shooter avec » de Stéphane Charmoillaux est de retour avec une saison 2 qui a démarré il y a quelques jours. Pour ce premier épisode, le photographe est parti au Canada pour suivre Philippe De Bruyne, photographe animalier, à la recherche des élans du Canada, les Orignaux.
Envie de découvrir les capacités vidéo du dernier iPhone X ? Voici une très belle vidéo de 3 minutes réalisée par le photographe Ryan Earl et le vidéaste Nick Arcivos pour AmnesiArt.
Réalisée sans effets spéciaux ni retouches, la série photo « Magnetic Radiation » de Seb Janiak explore la force de transformation et de modelage des champs magnétiques.
Avec sa série Metropolis, Martin Roemers donne un aperçu original des grandes villes du monde.
Durant son voyage à Deauville, la photographe roumaine Felicia Simon réalise une série de photos sur le thème de l’étranger, « Not from here », qu’elle s’est sentie incarnée dans son décalage avec le lieu.
« One day in Paris », un voyage à travers les décors de la ville lumière avec Erlend Mikael Saeverud
De la street-photographie aux airs de shootings plateaux, c’est l’impression première que donne la nouvelle série photo « One Day in Paris » de Erlend Mikael Saeverud. Des hommes et des femmes émergent de ruelles sombres, des silhouettes s’avancent dans le dédale urbain, et la ville apparait comme un vaste labyrinthe de couleurs, de lumières tranchées au couteau et d’ombres portées avec la noirceur de taches d’encre s’étendant sur le trottoir.
Des intérieurs à la Edward Hopper, des chambres vides où la télé est restée allumée, une femme fumant au bord de la fenêtre comme si elle voulait s’échapper, Tania Franco Klein dépeint l’existence en banlieue dans sa solitude et son invisible beauté.
Les portraits de Ira Chernova émettent des ondes douces, et viennent poser un regard apaisé et simple sur les êtres humains. Les modèles y sont présentés sans faux-semblant, saisis dans l’instantané d’un échange intimiste avec la photographe.
En période de confinement, des photographes se sont mobilisés à proximité de chez eux pour réaliser ces portraits témoignant d'une nouvelle réalité. Cette semaine, le Time Magazine publie en ligne 6 couvertures représentant des personnes impactées par le Covid-19 à travers le monde.
Avec « Reviens demain », Manon Gardelle a voulu témoigner de son interruption volontaire de grossesse survenue en 2016 dans une approche esthétique à la frontière entre photographie documentaire et surréaliste, introspective, intime.