Nous avons rencontré Aissata Haidara, jeune photographe autodidacte parisienne de 25 ans, dont la spécialité est de capturer de jeunes modèles dans des compositions aux couleurs soigneusement léchées. Interview.
Inscrit6 janvier 2019
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Avec sa série « Neon » réalisée avec des drones en light-painting, Ludwig Favre ouvre une parenthèse fantastique dans les paysages classiques. Des compositions simple: un milieu naturel surplombé d’un anneau de lumière.
A travers ses portraits, Berta Vicente focalise son attention sur les visages, mis en scène dans des compositions où l’être humain apparait dans toute sa solitude. Un regard bienveillant posé sur les êtres et leurs blessures intérieures qui transparaissent sur leur visage.
La série « Homes at night » de Todd Hido présente sans ambiguïté son sujet : des maisons vues de nuit. Des photos qui jouent sur leur banalité, des photos de choses que nous connaissons tous, et qui amènent ainsi le spectateur à se construire son propre récit.
Face aux photographies de Geert de Taeye, on ne peut s’empêcher de penser aux peintures baroques. Les oeuvres de ce maitre de la mise en scène photographique s’exposent du 26 janvier au 23 mars 2019 à la Galerie Goutal à Aix-en-Provence.
Comme son nom l’indique « Urban Impressions » a pour sujet la ville. La ville en mouvement, saisie à travers ses reflets dans les vitres des bâtiments, à travers des superpositions qui transforment l’espace et faussent la perspective.
Dans ses différentes séries telles que Cracks, Ice ou encore Changes, le photographe Tobias Häggs saisit les paysages vu du ciel, transformant ces territoires saisis en images abstraites dont la somptuosité rend hommage à la magnificence de la nature.
Du 1er décembre 2018 au 9 février 2019 à La Conserverie de Metz se tient une exposition mettant à l’honneur le travail de Cyrielle Levêque, Constitué d’images hybrides au sein desquels la représentation ne fait plus sens.
La 11ème édition du Festival photo MAP Toulouse qui se tiendra du 3 au 19 mai 2019 lance son appel à auteur.
« One day in Paris », un voyage à travers les décors de la ville lumière avec Erlend Mikael Saeverud
De la street-photographie aux airs de shootings plateaux, c’est l’impression première que donne la nouvelle série photo « One Day in Paris » de Erlend Mikael Saeverud. Des hommes et des femmes émergent de ruelles sombres, des silhouettes s’avancent dans le dédale urbain, et la ville apparait comme un vaste labyrinthe de couleurs, de lumières tranchées au couteau et d’ombres portées avec la noirceur de taches d’encre s’étendant sur le trottoir.
Deux portraits, une seule personne, deux genres ; c’est l’objectif du projet « HENKO » mené par le photographe Massimo Giovannini. Sur son site officiel l’artiste explique : « Henkō est un mot japonais composé par les kanjis 変 Hen, qui signifie « changement », et Kō, qui signifie « lumière variable / inhabituelle ».
La série « Temps d’arrêt » d’Etienne Buyse, finaliste du LensCulture’s Street Photography Awards 2017, offre à première vue au « regardeur » ainsi que le définissait Duchamp (celui qui prends le temps de regarder à la différence du « voyeur ») la banalité de l’attente. Mais ce temps de pose ouvre un nouvel espace, celui du temps de regard sur l’espace urbain et les individus qui le peuplent.
Olivier Sautet partage dans Pulse, une vidéo tournée aux quatre coins du monde (Tahiti, Hawaii, Iceland, Canada, ile Maurice…) avec différents sportifs, la passion qui les relie tous : la mer.
Jusqu’au 3 mars 2019 se tient une exposition photo à la BnF consacrée aux travaux des quatre lauréats de la Bourse du Talent, concours de jeunes photographes émergeants. Axée sur la place de l’individu dans sa société, l’exposition trace une ligne commune entre les différents regards de ces jeunes photographes qui se concentrent sur l’humain et ses fêlures.