À l'occasion d'un déjeuner de famille, Carlotta di Lenardo a découvert le trésor photographique de son grand-père : plusieurs milliers de clichés en couleurs pris au fil de la seconde partie du XXème siècle. Rassemblés dans An Attic Full of Trains, ces photographies rendent hommage à ce discret photographe d'une époque évanouie.
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En 1967, Diane Arbus se rend à Roselle dans le New Jersey. Elle y rencontre Cathleen et Colleen Wade, deux sœurs jumelles de sept ans. Côte à côte, devant un mur blanc, elles posent pour la photographe. Par leur tenue, leur regard, leur pose, elles prennent une allure fantasmagorique indéniable. Retour sur ce cliché devenu iconique.
La galerie Lumière des Roses à Montreuil présente "Inuits 1910 – 1930", une exposition rendue possible par l’acquisition d’un large fonds photographique issu des expéditions arctiques du début du XXe.
Le travail du photographe japonais Osamu Yokonami, bien que d’apparence hétéroclite, conserve le motif de la répétition comme ligne directrice. Ses portraits de fillettes avec un fruit sur l’épaule pour 1000 Children comme sa série Assembly, des portraits collectifs féminins, donnent une dimension presque surnaturelle à ses images.
En 2012, le photographe français Didier Bizet partait pour un voyage de quinze jours en Corée du Nord. Pour interroger le rapport à la vérité de cette autocratie, l'artiste nous propose de découvrir Le Grand Mensonge, fable photographique constituée d’images retouchées rassemblées au sein d’un ouvrage coédité par les éditions Pyramid et Revelatœr.
Le festival Planche(s) Contact s’ouvre à Deauville. Cette 11e édition du festival de photographie est bel et bien maintenue : l’occasion de découvrir à ciel ouvert des rues de la station balnéaire les artistes invités en résidence ces derniers mois.
Le photographe américain Richard Renaldi travaille depuis plusieurs années sur le portrait et plus particulièrement sur la notion de proximité et de distance. Sa série Touching Stranger s’enrichit ainsi au fil des ans de visages d’inconnus rassemblés le temps d’une image.
Jusqu’au 11 janvier 2021, la Cité de l’Architecture et du Patrimoine propose l’exposition Paris 1910-1937, Promenades dans les collections Albert-Kahn. L’occasion de revenir sur l’œuvre de ce banquier mécène ayant permis la création d’un incroyable fonds photographique et filmographique.
Exposée au festival Planche(s) Contact de Deauville, Letizia Le Fur nous a accordé un entretien. L’occasion de mieux comprendre le travail de la talentueuse photographe française en passant derrière l’objectif pour découvrir l’origine de son cycle Mythologies. À travers ses images prises en pleine nature mettant en relation le corps nu masculin et les éléments, Letizia Le Fur dresse un tableau de notre condition humaine qui interroge autant notre rapport à la nature, au corps que notre quête de beauté et de liberté.
Graziano Panfili est un photographe italien nourri de son expérience de dessinateur, peintre et illustrateur de bandes dessinées. Ses images ont été exposées et sélectionnées par de nombreuses parutions comme par des artistes pour la couverture de leur album. Pour son projet Alien-ation, Graziano Panfili a capturé le regard vide de personnes prisonnières d’un quotidien routinier, rêvant d'une vie différente.
De 1935 à 1965, les photographes américains et étrangers installés à New York capturèrent l'atmosphère de l'époque à travers des photos de rue modernes et engagées. Véritable révolution visuelle et culturelle, ce nouveau point de vue sur la street photography fut défini comme l'École de New York. Le mouvement est aujourd'hui célébré à l'occasion d'une exposition inédite, The New York School Show au Pavillon Populaire de Montpellier du 7 octobre 2020 au 10 janvier 2021.
C’est au cœur du désert Californien, à Tehachapi que l’artiste français s’est rendu à l’automne dernier pour un nouveau projet monumental : réaliser une fresque à même le sol dans la cour du pénitencier en collaboration avec vingt-huit détenus d’une prison à sécurité maximale. Un projet profondément humain exécuté à partir des portraits pris par l’artiste lors de ses entretiens face à face auprès de 48 personnes : condamnés, anciens prisonniers et gardiens de Tehachapi. Une fresque représentant le paysage enneigé entourant la prison complète ce projet.
Milan Radisics est un photographe hongrois qui explore la photographie d’art, la publicité et le photojournalisme avec un même sens du détail et de la narration. Grâce à un drone, l’artiste est parvenu à capturer des images inédites de la Terre prise sous des angles nouveaux pour composer tour à tour des paysages d’apparence lunaire et des témoignages en image de la puissance de l’eau
LOVE est un projet photographique à mi-chemin entre la photographie d’art et le documentaire réalisé en février dernier par la photographe géorgienne Natia Gelantia à l’occasion de la Saint-Valentin.