Salon de la Photo : on fait le bilan sur l’édition 2022

Le Salon de la Photo, acueilli pour la 1ère fois à la Grande Halle de la Villette, a fermé ses portes le dimanche 9 octobre. Quel bilan dresser de cette édition 2022 – la première depuis 3 ans ? Quels en ont été les temps forts et les moments incontournables ? Quel état des lieux pouvons-nous faire du marché de la photographie ? Phototrend vous livre son sentiment au sortir de cet événement majeur. 

De jeunes visiteurs au Salon sur l’estrade pour téléobjectifs chez Fujifilm

La Villette : nouveau lieu, nouveau format

Après trois ans d’absence, le Salon de la Photo a (enfin !) fait son grand retour, pour la plus grande joie des photographes. Quittant le Parc des Expositions de la Porte de Versailles, il a posé ses valises à la Grande Halle de la Villette, dans l’ancien pavillon Baltard du Marché aux Bestiaux.

Architecture en métal, dans le pur style Baltard

Cette édition 2022 inaugure ainsi un nouveau format. Un lieu plus lumineux, plus ouvert sur l’extérieur – et qui permet de profiter du bel écrin de verdure du parc voisin. Sans oublier les Photo Spots – déjà présents en 2019 – qui ont permis au plus grand nombre de découvrir (ou d’approfondir) de nombreuses disciplines photographiques. Des workshops et ateliers ont également été organisés par le salon et les constructeurs et ont rencontré un franc succès.

Photo Spot Culinaire organisé par le Festival International de la Photographie Culinaire (FIPC)

L’objectif pour le Salon de la Photo ? Passer d’un showroom à un studio photo éphémère, comme nous l’indiquait Eric Lenoir, directeur du Salon de la Photo, dans une interview en juillet dernier.

30 000 visiteurs pour l’édition 2022

Les chiffres officielles de fréquentation du Salon de la Photo 2022 viennent de sortir : cette nouvelle expérience a rassemblé 30 000 personnes durant 4 jours. Ce chiffre de fréquentation est moindre par rapport aux plus de 60 000 visiteurs de l’édition 2019.

Une partie du public a donc répondu à l’invitation lancée par les organisateurs. Dès le jeudi matin, avant l’ouverture, la file d’attente s’étendait sur plusieurs centaines de mètres.

Un espace aéré, lumineux et beaucoup moins bruyant

Plusieurs raisons expliquent cette fréquentation en baisse, en deçà de l’objectif de 40 000 visiteurs donné par Eric Lenoir dans notre interview. Tout d’abord, après 2 éditions annulées, il est parfois difficile de revenir dans l’esprit des photographes. Le changement de lieu et de date, bien que positif pour les visiteurs avec de meilleures conditions météo pour pratiquer la photo – le soleil était au rendez-vous durant les 4 jours – a également pu déboussoler certains.

Chaque matin, avant l’ouverture du Salon, de longues files d’attente

On notera également que si les grands constructeurs photo étaient présents, 40% des exposants, notamment les accessoiristes, n’avaient pas de stand cette année. Enfin, l’édition 2022 s’est tenue sur 4 jours et non 5 comme lors de la précédente édition.

Dans tous les cas, malgré les larges allées du Salon de la Photo, une foule parfois compacte arpentait les lieux pour visiter les stands de tous les acteurs du marché de la photographie, notamment au niveau des espaces de prise en main où lors des conférences organisées par les marques.

Heure de pointe sur le stand de Canon

Les grands temps forts du Salon de la Photo 2022

Tout au long de ces 4 jours, de (très) nombreuses rencontres ont été organisées sur les différents stands, permettant aux visiteurs de découvrir toute la diversité des pratiques photo et vidéo.

le photographe Little Shao lors d’une conférence sur le stand Nikon

Cependant, nul doute que l’événement incontournable de ce Salon était la rencontre organisée par Nikon entre Laurent Ballesta, Vincent Munier et Thomas Pesquet. Trois domaines photographiques, trois visions différentes – mais un même regard sur notre planète bleue, sa beauté et sa fragilité. Un moment à retrouver en replay sur la chaîne de Nikon France.

Plusieurs expositions de photographe, dont la grande exposition autour de Françoise Huguier ont également rencontré un vif succès, attirant de très nombreux visiteurs. La configuration du lieu d’exposition était également propice à la découverte de ses photographies. Situé en surplomb, à l’écart de la foule, il a permis au plus grand nombre d’explorer le travail de cette photographe protéiforme.

En parallèle, Phototrend a été heureux d’animer une conférence suivie d’un workshop autour du dernier Tamron 50-400 mm f/4,5-6,3 Di III VC VXD. Une initiative qui nous a permis d’échanger avec nos lecteurs autour de ce téléobjectif polyvalent.

Naturellement, les principaux acteurs du marché de la photographie ont présenté toutes leurs nouveautés dévoilées depuis 2020. Canon EOS R3, Nikon Z9, Fuji X-H2 et X-H2S, Sony A1 et A7 IV, Panasonic Lumix GH6 et S5, Leica M11… autant de boîtiers qui ont suscité un véritable engouement. De la même manière, les objectifs de ces constructeurs ainsi que Sigma, ou Tamron ont su attirer une large audience.

Néanmoins, certains visiteurs ont regretté l’absence de deux marques : Ricoh-Pentax (déjà absent en 2019) et Olympus. Pour ce dernier, cette absence s’explique notamment par la revente de la division Imagerie à un fonds d’investissement en 2019, occasionnant le changement de nom vers « OM Digital Solutions« . De même, on déplore l’absence de certains accessoiristes et opticiens tiers. Heureusement, Irix, Cokin ou encore Tokina étaient là, tout comme Nisi.

Forte affluence sur le stand Fujifilm avec les nouveaux X-H2 et X-H2S

Les grandes tendances du marché de la photographie en 2022

Il y a trois ans, lors de la précédente édition du Salon, le marché de la photographie était en pleine transition entre reflex et hybrides. Aujourd’hui, cette mutation tend à s’achever – ce qui se vérifie pleinement sur les stands de tous les constructeurs.

Un boîtier hybride EOS R3 de Canon

Si certains constructeurs comme Canon et Nikon conservent des reflex au sein de leurs gammes, la tendance de fond est à la multiplication des hybrides pour tous les formats de capteurs, tous les usages et tous les budgets. De la même manière, certains opticiens continuent de proposer des objectifs pour reflex ; néanmoins, tous intensifient leurs efforts en faveur des montures Sony E, Fuji X, Nikon Z et en monture L. Seule la monture RF reste l’apanage exclusif de Canon – pour le moment.

Un utilisateur Sony sur le stand Tamron – avec une Apple Watch Ultra

À ce titre, nous avons eu l’occasion de nous entretenir avec les représentants de Canon, Nikon, Sony, Fujifilm, Panasonic, Sigma et Tamron. Autant d’interviews que vous pouvez retrouver dès maintenant dans nos colonnes. Au-delà du switch vers l’hybride, plusieurs tendances de fond se dégagent

D’une part, le marché de la photographie continue de croître davantage en valeur qu’en volume, avec une nette montée en gamme de l’offre des différents constructeurs. D’autre part, malgré une nette réduction de l’offre, la demande en matière de reflex – notamment en termes d’optiques – continue d’être présente, incitant les constructeurs à s’adapter. 

Mais surtout, la vidéo prend de plus en plus d’importance au sein même de l’univers de la photo. Ainsi, les différents boîtiers se dotent de modes dédiés de plus en plus complets. Le but : accompagner les nombreux photographes qui s’ouvrent de plus en plus à la vidéo. Par ailleurs, certains créateurs abordent la photographie via la vidéo, étant en recherche de boîtiers vidéo capables d’exceller en photo. 

Une véritable mutation du marché, qui traduit une évolution des besoins des photographes et vidéastes amateurs et professionnels. Comme nous l’indiquait Claire-Anne Devillard, responsable marketing de Canon, « la photographie est dans une situation paradoxale« . 

Le nombre de photos capturées chaque jour est en hausse constante – grâce aux smartphones. Mais ce nombre n’indique en rien la qualité de ces clichés. Et nombreux sont les utilisateurs à accorder de plus en plus d’importance à la « belle image ». En parallèle, le marché de la photographie d’art connaît une véritable envolée, certains clichés battant de nouveaux records.

Enfin, l’impact du Covid 19 et des pénuries de composants a eu un certain impact sur les ventes de boîtiers photo. Cependant, les nouveautés annoncées à l’été 2020 ont permis aux différents constructeurs de garder la tête hors de l’eau. Mais surtout, les différents confinements ont nettement tiré vers le haut le domaine de l’impression. À ce titre, il est dommage que le print n’ait pas été davantage représenté, malgré la présence d’acteurs importants comme Epson où certaines marques de papier comme Hahnemühle ou Innova.

Quel bilan pour cette édition 2022 du Salon de la Photo ?

De notre point de vue, cette nouvelle édition du Salon de la Photo est assurément une réussite sur plusieurs points. Qualité du lieux, qualité et diversité des stands – malgré l’absence de certains, de très belles expositions, variété des conférences… Le nouveau format adopté par le Salon reflète pleinement le positionnement « haut de gamme » du marché de la photo dans son ensemble.

Exposants comme visiteurs, tous ont transmis des retours très positifs quant à cette nouvelle version du Salon, à la fois plus agréable et plus vivante, malgré l’absence de certains acteurs.

Reste à transformer l’essai lors de l’édition 2023. Vous pouvez d’ailleurs déjà bloquer les dates sur votre agenda, puisque le prochain Salon de la Photo aura lieu du 5 au 8 octobre prochain, toujours à la Grande Halle de la Villette.

D’ailleurs, qu’avez-vous pensé de ce nouveau format pour le Salon de la Photo ?

Responsable éditorial

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  1. Franchement très déçu par ce salon. Je suis un habitué depuis 20 ans. Manque de stand en accessories, absence de marques majeures comme Hasselblad. Les grandes rencontres ont perdu leur style. Normal Magazine à disparu et beaucoup d’autres… Les animations sur les stands touchaient tout le monde, remplacées par quelques studios pour 15 inscrits ce n’est pas très démocratique… On est très loin de la grande messe de la photo qui existait avant la nouvelle direction.
    Dimanche matin et midi ne dites pas qu’il y avait foule, les allées étaient quasiment vides. Juste un peu de monde chez Nikon et Canon.
    Et pour finir, le changement de date n’a pas de raison d’être, c’est dommage de ne plus avoir le même rendez-vous que Paris Photo.

  2. >Le changement de lieu et de date, bien que positif pour les visiteurs avec de meilleures conditions météo pour pratiquer la photo – le soleil était au rendez-vous durant les 4 jours – a également pu déboussoler certains.

    Positif pour quels visiteurs ? Les Franciliens ? Les habitants du Nord de la France ? Voire les étrangers arrivant par la Gare de l’Est ou depuis les aéroports ? De mon point de vue, vouloir « développer notre rayonnement en France », pour citer l’interview d’Eric Lenoir, et en même temps déplacer la date et surtout le lieu de ce salon au nord-est de Paris constitue soit un paradoxe, soit une confusion géographique évidente entre « Paris » et « La France ».

    Pour ma part, simple amateur éclairé –encore en activité– résidant à l’ouest de la France, il me sera désormais impossible de visiter ce salon, même sur deux jours. Faire 5 heures de train + 2 h de métro dans la journée, sans compter l’attente éventuelle, est désormais absolument inenvisageable, et je pense qu’il faudra beaucoup de passion, de dédication, de temps et une certaine dose de moyens aux photographes amateurs non-retraités d’une bonne partie de la France profonde pour pouvoir assister à cet événement. (En même temps, je suis ravi pour les habitants du nord de la France qui voient leurs conditions d’accès facilitées.) Mais je doute que nous fassions partie de la cible de visiteurs que les organisateurs souhaitent développer. Quant aux clubs photographiques provinciaux, vont-ils dépenser le précieux argent de leurs membres à se rendre en masse à un tel événement à l’avenir ? Autant investir dans du matériel photographique collectif, payer un pro pour l’organisation d’une formation ou d’un atelier sur place, ou concocter une sortie sur un site d’intérêt photographique local.

    Voilà, c’est dit.

    En attendant, sevré du Salon, je continuerai de profiter des beaux jours pour aller faire quelques photos dans nos belles campagnes. Après tout, c’est en pratiquant qu’on apprend, et je n’ai nul besoin de d’acheter régulièrement du nouveau matériel…

  3. Bonsoir,
    Merci pour ce compte-rendu mais je reste pour ma part assez déçu. Photographe amateur passionné depuis 2 ans, je me faisais une joie d’assister à mon premier salon. J’avais prévu d’y passé tout le vendredi après-midi et le samedi… J’ai quitté les lieux à 18h le vendredi faute de ne plus trop savoir trop quoi faire et je ne suis pas revenu le samedi… Et encore, je suis resté jusque-là car je n’arrivais pas à approcher le stand Canon pour manipuler leur tout nouveau R7. J’aurai aimé aussi pouvoir découvrir autrement que sur le Net une multitude d’accessoires, mais il n’y avait pas grand chose à voir malheureusement…

  4. 14/10/2022
    J’ai convaincu mon petit fils à qui j’ai transmis le virus de la photographie de venir à ce salon. Je lui avait décrit les moyens déployés par les fabricants, la surface des stands, l’animation sur ces stands, les possibilités de choisir et d’acheter par ex. un filtre pola. ou une courroie pour son boitier. Et bien il a été fort déçu et moi doublement qui avait fréquenté ceux d’antan.

  5. Pour avoir participé à plusieurs reprises aux anciennes éditions lorsqu’elles se déroulaient à Porte de Versailles, je suis très déçu de cette édition 2022.

    Certes le lieu est beau, mais c’est plus compliqué de rejoindre la Villette en transport comparé à Porte de Versailles.

    J’avais très envie de rester certains sacs photos… mais quelle ne fut pas ma déception en ne voyant que très peu de stand d’accessoiristes.

    Ma cousine voulait faire nettoyer son capteur chez Canon mais cela n’était plus proposé.

    On a fait le tour du salon en 2 heures ou 3 grand max en s’attardant un peu sur les expositions photographiques.

    Vraiment déçu de cette édition, j’hésite à y retourner en 2023 si cela se déroule de la même manière .

  6. La réalité, ce sont les chiffres qui les donnent : le salon était désert et à moitié vide de ses exposants.
    Aucun dynamisme, que des vieux papys. Une erreur grave d’avoir migré à la Villette.

  7. Je me réjouissais de retrouver le salon de la photo avec en souvenir celui de Porte de Versailles ; malheureusement le salon 2022 à la Villette m’a très déçu. Il n’y avait que très peu de stand d’accessoiristes, je désirais tester certains sacs photos mais je n’en ai vu aucun. Donc après avoir visité la belle exposition de Françoise Huguier, parcouru les stands, pris en main le Z9, suivi un peu le « photo spot culinaire », les workshops eux étant limité à une quinzaine de participants n’étant donc pas accessible, j’allais repartir après 3 heures de visite quand une conférence sur le stand Nikon m’a fait prolonger mon séjour de plus de 2 heures de façon intéressante. Porte de Versailles j’avais quitté le salon contraint par l’horaire et non par manque d’intérêt comme à la Villette.

  8. Très bel endroit pour recevoir le monde de la phot, beaucoup plus sympa que Porte de Versailles,
    Clarté et espace dans les stands, manquement de marques d’accessoires Godox etc etc….)
    Ne changer pas de lieu

  9. Vous êtes élogieux pour ce salon alors qu’ayant discuté avec de nombreux amateurs, nous sommes déçus par ce salon :
    – des stands riquiqui avec peu de matériels et un espace restreint pour les conférences,
    – de nombreux accessoiristes absents
    – des expos de peu d’intérêt,
    – une entrée avec un manque de personnel, qui fait perdre du temps,
    – une restauration sinistre.
    Si l’an prochain ce sera du même acabit, nous serons nombreux à rester chez nous

  10. Vous faites un bon compte rendu en essayant de rester optimiste, ne broyons c’est vrai que ce salon a le mérite d’exister et de redémarrer après une période bien troublée. Il n’est pas facile de renouer avec les grand messe d’il y a quelques années. On lit cependant entre vos lignes ce que j’ai constaté par moi même en y allant le jeudi : de nombreux acteurs sont absents et c’est bien dommage. Contrairement à ce que disent certains je ne partage pas l’avis que la Villette soit un mauvais choix. Il n’est à mon sens ni mieux ni moins bien que la Porte de Versailles. Quand un salon est bon qu’il se passe à la Villette, à Paris Nord ou à Versailles le public vient. Ce qui est certain c’est que la photographie est en mutation et que cela passe par tout ce qui tourne autour, accessoiristes, éclairage, video, drone, montage, retouche, tirage… le salon devra passer par cet élargissement nécessaire pour rester dans la course

  11. D habitude je fais le déplacement exprès de Mayotte, cette fois ci j avais d autres priorités et heureusement. Très déçu de l ambiance générale. Des stands sous prompteurs dédiés à la technique ou la vente. Rien de passionnel, ou son passé ses bons moments partagés chez profoto avec des passionnés de la lumière, ou sont passé ces photographes passionnés par l images allant en contre courant commercial comme chez Panasonic il fut un temps. Pas d artisans, pas d accessoiristes et encore plus l absence d hasselblad. Du monde, des queues ? J y suis allé dimanche et personne. Certes nous avons traversé une période difficile mais de là à ne pas retransmettre une réalité évidente. Le journalisme a bien changé ces dernières années. D ailleurs est ce du journalisme. Le lieu n’ a rien à voir. En tout état de cause très déçu par cette édition 2022. Espérons que la prochaine édition nous présentera des passionnés, des artistes, des pros, des amateurs et pas seulement des vendeurs.

  12. « ..cette nouvelle édition du Salon de la Photo est assurément une réussite sur plusieurs points.. »Manifestement nous n’avons pas du assister au même salon!Des allées loin d’être pleine de monde, pas d’accessoiristes ( si c’est pour acheter à la FNAC, pas besoin de venir au salon..! J’ai trouvé 5 malheureux sacs photo sur un coin de stand!!Pour le reste, encore heureux que des marques comme CANON et NIKON soient la, mais cela n’a rien d’exceptionnel. Bref très déçu par ce salon et pas sur d’y revenir.

  13. J’ai fait plusieurs éditions des dernières éditions du salon de la photo. Celle-ci étant franchement médiocre : agencement, nombre d’exposants, conférences et même le nombre de visiteurs (on avait l’impression qu’il était vide). J’en ai fait deux fois le tour pour être certain de n’avoir rien loupé tellement ça me paraissait insipide.

    Je suis très étonné de la queue de « centaines de personnes ». J’y suis allé le jeudi soir et ça m’a paru relativement vide. Peut-être est-ce le lieu qui donnait cette impression, mais j’en doute : les visiteurs ont sans doute vite fait le tour.

    Sur le choix du lieu en lui-même, je ne suis pas convaincu. Si le lieu reste le même l’an prochain, je ne m’y déplacerai plus.

  14. Ce salon qui se voulait êre un très grand studio de prise de vues…. ne permetais pas de déclencher car aucune animation en dehors de ces workshop à la capacité restrinte ou les inscription préalable taient requises alors que la plupart était déjà complet….
    QUleques conféences très intéressantes pour d’autres qui l’était nettement moins et Merci à Canon pour l’inconfort offert à ces visiteurs lors des conférences (rester une heur debotr serré comme des sardines en ce temps de risque pandémiques !
    Personellement je pense que je ne remetrais pas les pieds dans ce salon, (dont l’intérêt décrois à chaque edition) si décevant par ce que j’ai déjà évoqué sans oublier une part de grand absents