Jusqu’au 12 janvier 2025, la BnF expose une soixantaine de tirages issus de la collection Jérôme Prochiantz. Ce vaste ensemble est tiré des 400 œuvres – dont 150 photographies – données l'an dernier par le collectionneur.
La Galerie Rouge présente la 1e rétrospective consacrée à Jill Freedman. Son travail, qui s’inscrit dans la longue tradition des photographes humanistes, est à découvrir jusqu’au 2 décembre 2023.
La Galerie Polka met à l'honneur Joel Meyerowitz au travers d'une exposition composée d'une vingtaine de photos phares grand format issues de ses 60 ans de carrière. De la street photo aux tableaux contemplatifs, l'artiste livre un panorama singulier d'une Amérique par le prisme de la couleur. À découvrir jusqu’au 29 juillet 2023.
Après deux décennies d’absence dans les musées français, Johan Van der Keuken (1938-2001) fait son retour au musée du Jeu de Paume avec une rétrospective attendue dédiée au photographe, cinéaste et écrivain néerlandais.
Avec Josef Koudelka, Next, Melissa Harris livre une biographie passionnante, entre confidences et archives, éminemment précieuse pour saisir la richesse de l'œuvre du photographe.
À seulement 13 ans, Josiah Launstein a reçu cette année encore le prix du Jeune Photographe en Plein Air. Portrait rapide d'un prodige aux yeux d'or.
Judith Helmer, présente au festival Circulation(s) au printemps prochain, nous parle d’elle, de ses projets, de son amour pour la photographie et des causes qu’elle défend.
Le Grand Palais éphémère expose « i need to live » du photographe contemporain Juergen Teller. Que ce soit par la scénographie ou la sélection des images, cette exposition se démarque singulièrement et propose un vaste aperçu du travail considérable de Juergen Teller, avec près de 700 tirages, 300 documents et 5 films.
Jusqu’au 28 janvier 2024, le Jeu de Paume nous fait revenir aux origines de la photographie avec un focus sur Julia Margaret Cameron, photographe britannique du dix-neuvième siècle. Une sélection d’une centaine d’images nous permet de découvrir l’ampleur d’une œuvre longtemps déconsidérée du fait de son originalité et de son approche singulière du médium.
Le mémorial de la Shoah accueille une exposition autour de l'oeuvre de Julia Pirotte, photojournaliste résistante d'origine polonaise. Figure des mouvements ouvriers et syndicaux des années 1930, elle photographie la Seconde Guerre mondiale, la Résistance et la Libération, avant d'aller capturer l'après-guerre en Pologne. Une centaine de ses clichés sont à découvrir jusqu'au 30 août 2023.
Si l’année 2022 a été celle de la réception du Prix Nièpce pour Julien Magre, l’année 2023 sera l’occasion pour lui d’une belle exposition au Jeu de Paume, à Tours. Avec « En vie », ce sont 50 tirages qui ont été sélectionnés parmi un large corpus qu’a composé Julien Magre sur une vingtaine d’années ; un autoportrait au long court sur sa famille pour autant de scènes de vie immortalisées avec une certaine tendresse à découvrir jusqu'au 29 octobre 2023.
Le photographe Julien Magre reçoit le Prix Niépce Gens d'images 2022 pour son travail photographique au long cours empli d'intimité.
Le 25 mai dernier, le jury du Prix Niépce Gens d’Images annonçait les lauréats de sa 68e édition à la Bibliothèque nationale de France, partenaire du Prix. Juliette Agnel remporte ainsi cette édition 2023 pour son travail photographique au long cours sur le rapport de l’Homme à l’immensité de la nature.
Le Prix Fisheye de la création visuelle vient d'annoncer la lauréate de sa première édition. Lancée à l'occasion des 10 ans du magazine, ce Prix vise à récompenser des artistes émergents, afin d'ensuite les accompagner et les faire évoluer sur la scène photographique. Juliette Alhmah remporte ainsi le Grand Prix de cette première édition. Son travail fera l'objet d'une exposition à la Fisheye Galley à Arles et de nombreuses publications.
