Marine Peixoto est à l’honneur au BAL avec « Bercy Street Workout. Photographies 2020-2023 », une exposition à visiter jusqu’au 19 mai 2024 ; à découvrir également au travers d’un ouvrage co-édité par Roma Publications. Près de 200 tirages nous permettent d’appréhender les trois années qu’il a fallu à Marine Peixoto pour documenter le quotidien sur le terrain municipal sportif de Bercy, au cœur du 12e arrondissement de Paris.
La série "Fièvre" de Lorenzo Castore est doublement à l’honneur via une exposition à découvrir jusqu’au 11 mai 2024 à la Galerie S., en plein cœur de Paris, accompagnée d’un ouvrage publié aux éditions Lamaindonne. L’occasion idéale de revenir sur le travail du photographe italien en se concentrant sur son œuvre personnelle, à la croisée de l’intime et de son esthétique de caractère.
Arno Brignon investit la tour de la Galerie du Château d’Eau avec « Us », une série issue de son voyage photographique à travers les États-Unis qu’il a réalisé entre 2018 et 2022 à l'aide de les pellicules argentiques périmées. À découvrir jusqu’au 14 avril 2024.
C’est à nouveau un travail produit dans le cadre de la Grande commande photojournalisme qu’on peut découvrir à la Galerie du Château d’Eau. Jusqu’au 14 avril 2024, Philémon Barbier présente « Rien à perdre », une série qui propose de documenter le milieu du rap toulousain, loin des poncifs habituels, mais plus près des principaux concernés.
À travers ses œuvres monumentales captivantes, Jeff Wall a redéfini la manière dont nous percevons et expérimentons la photographie. À Bâle, la Fondation Beyeler propose jusqu'au 21 avril 2024 une exposition sans précédent, offrant aux visiteurs une plongée fascinante dans l'univers singulier de cet artiste visionnaire.
La Galerie XII présente jusqu’au 13 avril une exposition collective réunissant sept artistes contemporains autour de l’énigmatique citation de Paul Valéry : « Il y a un instant où la nuit se fait voir à la lumière ». Cette initiative met en lumière une recherche commune, non pas sur l’image en elle-même, mais plutôt sur sa capacité à se métamorphoser et sur sa matérialité.
Avec « D’après Nature » de Jean Gaumy, la galerie Sit Down place son exposition de rentrée sous l’égide d’une photographie de paysage exigeante. Réalisée à la fin des années 2000 dans le Piémont, la série présentée ici est composée d’images noir et blanc à l’esthétique propre à Jean Gaumy, où la beauté de territoires inhabités, voire inhospitaliers, se cache dans la répétition de motifs dotée d’une certaine abstraction. À découvrir en entrée libre jusqu’au 13 avril 2024.
Alors que la zone de Fukushima, évacuée puis décontaminée, s’apprête à revenir à la vie, la photographe Cécile Asanuma-Brice s'est rendue sur les lieux, afin de garder la trace des derniers vestiges de la ville d’avant le drame. Ce travail singulier fait l'objet d'une exposition à la Maison de la Culture du Japon à Paris jusqu’au 9 mars 2024
Pour célébrer son 20ème anniversaire ainsi que sa saison 2024, le Jeu de Paume présente une série de monographies uniquement consacrées à des femmes artistes. Tina Modotti (1896-1942), une figure emblématique de la photographie, est mise à l'honneur. Cette exposition majeure est ouverte à la visite jusqu'au 12 mai 2024.
Membre de l’agence Magnum depuis 2007, Alessandra Sanguinetti expose du 30 janvier au 19 mai sa série phare Les Aventures de Guille et Belinda enrichie de films et nouvelles images.
Pour sa première exposition de 2024, la MEP accueille entre ses murs « Extérieurs », une exposition qui rassemble près de 29 photographes autour de la figure littéraire Annie Ernaux, les fragments de son Journal du Dehors en face de tirages issus de la vaste collection de la MEP. À découvrir jusqu'au 26 mai 2024.
Alors qu’il vient juste d’annoncer son retrait du terrain, Sebastião Salgado est exposé jusqu’au 16 mars à la Galerie Polka, avec la 2e partie de son "Magnum Opus".
Du 22 au 25 février prochain, le Camera & Photo Imaging Show (CP+) se tiendra au Japon. Pour l’occasion, Phototrend fait le déplacement à Pacifico Yokohama, dans la banlieue de Tokyo, afin de vous présenter toutes les nouveautés qui seront annoncées ou visibles sur le salon. Rendez-vous à partir du 22 février.
La Galerie Polka poursuit l’exposition du travail de Nick Brandt avec la présentation de SINK/RISE, troisième chapitre de The Day May Break, projet au long cours du photographe sur les conséquences de la crise climatique sur l’environnement.