Les éditions du bec en l’air publient un ouvrage original : Odyssée 2.0. Mêlant des photographies d'architecture mises en scène d’Alexa Brunet et des textes du chercheur Félix Tréguer, cet ouvrage imaginatif et aux formes multiples présente différents niveaux de lecture sur l’essor de nos technologies modernes et ses conséquences dans nos sociétés.
La maison d’édition marseillaise indépendante Images Plurielles, publie Scampia non solo Gomorra, un voyage dans la Naples des périphéries, entre emprise mafieuse et espoirs de rédemption. Les textes de Davide Cerullo répondent aux images d'Olivier Galicis, tissant une trame complexe autour du quartier de Scampia et de ses habitants
Le photographe Olivier Jobard remporte le Prix de Photographie Marc Ladreit de Lacharrière – Académie des beaux-arts 2022 pour son projet « Souvenirs d’une vie envolée, ma famille afghane ». Par ailleurs, William Daniels, Claude Iverné et Pierre de Vallombreuse ont été déclarés finalistes de cette édition.
One Last Frame est une vidéo émouvante qui s’interroge sur l’usage de la photographie au présent et au futur.
Les éditions lamaindonne publient Oreille coupée, un livre photo sur la traque instinctive d’une louve par un photographe aux intentions pour le moins originales. Il n’est pas véritablement question d’une traque de l’animal, mais davantage d’une tentative d’en retrouver les traces et d’en ressentir la présence.
Oriane Zérah a partagé sa vie entre la France et l’Afghanistan pendant plus de dix années. La photographe française, toujours installée à Kaboul, a saisi des images fascinantes de la passion que les Afghans vouent aux fleurs, malgré l’omniprésence de la violence qui règne dans le pays. Des roses sous les épines est un livre touchant posant un nouveau regard sur l’Afghanistan.
Les éditions Textuel nous convient à un voyage littéraire le long de la mythique ligne ferroviaire qui reliait Paris à Constantinople : revivez l’âge d’or des trains à vapeur et embarquez à bord d’un train de légende avec Orient-Express & Co.
Le célèbre prix suédois de la fondation Hasselblad a été remis à l’artiste multitalent colombien Oscar Muñoz pour ses œuvres expérimentales alliant plusieurs supports et différentes idées. Tour d'horizon rapide sur son travail original et percutant.
Consécration pour le film Dune. Le long-métrage de Denis Villeneuve reporte l'Oscar 2022 de la meilleure photographie, récompensant le travail du directeur de la photographie Greig Fraser et de l'équipe des effets spéciaux.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Musée de la Photographie de Charleroi sait y faire en matière d’expositions photo. Après Virginie Nguyen Hoang et Peter Knapp, c’est au tour de Laura Henno de se voir consacrer une exposition d’ampleur, pour un travail à la hauteur de cette ambition. Depuis 2017, la photographe s’installe plusieurs semaines par an dans une caravane au cœur d’une cité perdue dans le désert californien.
À partir du samedi 27 août, la ville de Perpignan accueille la 34e édition du festival Visa pour l'Image. Une édition encore une fois marquée par l’importance de plus en plus capitale des photojournalistes sur les zones de conflit, et dans les pays autoritaires où la liberté de la presse est de plus en plus contrainte, réduite, bafouée. Tour d’horizon des temps forts de cette 34e édition.
Patrice Dion est parvenu à son objectif de financement participatif pour son projet PAN, un livre tout à fait singulier où il a reproduit ses photographies sur une surface sensible inhabituelle… des feuilles d’arbres.
La Galerie de l’Instant expose jusqu’au 18 juin une quarantaine de tirages du photographe italien Paolo Pellegrin. Placée sous l’égide d’un nom d’exposition on ne peut plus oxymorique, « Chaos calme », cette sélection offre un très bel aperçu sur une carrière foisonnante et maintes fois récompensée. Voyons plutôt.
En 2018, le photographe franco-iranien Yegan Mazandarani rassemblait ses pellicules et rejoignait le front du Donbass, entre l'Ukraine et la Russie. De ce voyage est né Parias, Carnet en RPD, son premier livre auto-édité réunissant une centaine d’images monochromes, des notes et des entretiens avec ces oubliés affectueusement nommés « parias ». Jusqu'au 18 juillet, une campagne de financement Ulule permet de soutenir la création de ce livre.