Le Musée départemental Albert Kahn continuer d’explorer les différentes facettes du banquier philanthrope avec sa nouvelle exposition. Intitulée « Natures vivantes », elle met en valeur sa passion pour le monde végétal. À découvrir jusqu’au 31 décembre 2024.
Jusqu’au 29 septembre 2024, La Piscine (Musée d’art et d’industrie) accueille « Les poings ouverts », une série d'Anouk Desury. Installée à Roubaix depuis 2017, elle a mis en lumière le parcours de trois boxeurs et une boxeuse, qu'elle a suivi dans le cadre de la Grande commande photojournalisme.
Le Centre Photographique d’Île-de-France expose le travail au long cours de François Bellabas : « Blank Memory ». Il s’agit pour l’artiste d’explorer tout l’imaginaire visuel façonné en Californie, région qu’il photographie depuis près de dix ans, et où se fabrique une certaine iconographie par l’industrie cinématographique et vidéoludique. L’exposition, entre photographie et installation, est à découvrir jusqu’au 21 juillet 2024.
De 2016 à 2020, le photographe russe Nikita Teryoshin (né en 1986) a capturé l'univers singulier des salons organisés par les marchands d’armes. La série Nothing Personal – the back office of war nous offre ainsi un tour du monde tragi-comique, aux couleurs pop et aux flashs omniprésents. À découvrir jusqu'au 14 juillet 2024 au Festival Mesnographies.
Irving Penn, figure emblématique de la photographie, a su marier avec brio la photographie de mode et une approche plus expérimentale, présentée dans le cadre de l'exposition Edge of Beauty dans son art. L'œuvre de Penn continue d'inspirer et de fasciner, offrant un regard unique sur la beauté, la forme et la composition à travers l'objectif photographique.
Photographe, journaliste et historien de la photographie, Jean-Claude Gautrand fait partie des pionniers de la "photographie subjective". Au tournant des années 1960, il mène plusieurs expérimentations, caractérisées par des partis-pris graphiques forts. Les séries "Forteresse du dérisoire" et "Métalopolis" sont le fruit de ce travail avant-gardiste : elles font l'objet d'une exposition à la Galerie des Douches, à Paris, avec une sélection de tirages d'époque à découvrir jusqu'au 13 juillet.
Plus que quelques jours avant le début des Jeux Olympiques et Paralympiques ; et si le sport est à l’honneur, la culture n’est pas en reste. Dans le cadre de l’Olympiade Culturelle, plusieurs expositions photographiques en lien avec les jeux sont à découvrir à Paris et en région.
Les éditions EXB publient la première monographie française consacrée à Akihiko Okamura, en se focalisant particulièrement sur ses photographies nord-irlandaises. Une sélection d’images couleur et un texte de Pauline Vermare viennent apporter un éclairage inédit sur le photographe japonais, encore largement méconnu.
En partenariat avec le journal L’Équipe, la Galerie Roger-Viollet retrace une histoire photographique du sport féminin dans l’entre-deux guerres avec « Championnes ». À travers une sélection de 87 photographies inédites, provenant des archives du journal et des collections de la galerie, l’exposition entend replacer à sa juste place la pratique sportive féminine.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Musée de la Photographie de Charleroi sait y faire en matière d’expositions photo. Après Virginie Nguyen Hoang et Peter Knapp, c’est au tour de Laura Henno de se voir consacrer une exposition d’ampleur, pour un travail à la hauteur de cette ambition. Depuis 2017, la photographe s’installe plusieurs semaines par an dans une caravane au cœur d’une cité perdue dans le désert californien.
Robert Capa, Louis Carlos Bernal, Akihiko Okamura, Marine Poron et les regards croisés des photographes sur le Japon sont à l'honneur dans notre sélection de livres photo pour ce mois de juin 2024. Bonne lecture.
On le sait : l’année 2024 marque le 80e anniversaire de la Libération. À cette occasion, la ville de Saint-Malo accueille une exposition consacrée à Lee Miller, photographe et correspondante de guerre pendant le siège de la ville entre le 13 et le 17 août 1944. Une cinquantaine de photographies ont été sélectionnées et seront visibles du 18 juin au 29 septembre 2024 ; une manière d’étendre la reconnaissance tardive pour l’une des plus grandes photoreporters du 20e siècle.
« Artiste multimédia » : voilà comment est défini Thomas Mailaender, à qui la Maison Européenne de la Photographie consacre son exposition estivale jusqu’au 29 septembre. Une carte blanche sur les deux étages des Galeries qui fait la part belle aux expérimentations photographiques et visuelles, avec une approche comique voire subversive résolument avant-gardiste – et qui apporte un véritable vent de fraicheur.
Voilà une bonne introduction photographique aux JO de Paris qui commencent très prochainement. Avec « Divinement sport », la Galerie Polka réunit quelques images réalisées par le grand Jacques Henri Lartigue ; une sélection résolument sportive et rétro. Pour la plupart réalisées à la Belle Époque, dans l’entre-deux-guerres, les photographies exposées délivrent un aperçu d’une période bien particulière pour la pratique sportive en amateur.