Annoncé en avril 2025, le Sony FE 50-150 mm f/2 GM toise tous les autres zooms lumineux du marché en alliant plage focale atypique et polyvalente avec une très grande ouverture constante de f/2.
Le 80e objectif de la monture E est hors du commun. À peine plus encombrant qu’un classique zoom 70-200 mm, il veut devenir le nouveau partenaire indispensable des photographes de mariage, d’évènementiels ou de sport.
Ce zoom vise à offrir des prestations optiques très élevées, en adéquation avec son tarif, tout aussi démesuré. Nous avons pu essayer cette optique unique pendant quelques semaines et voici son test complet.

Sommaire
Le zoom f/2 pour ringardiser le zoom f/2,8 ?
Le Sony FE 50-150 mm f/2 GM est peut-être l’objectif le plus abouti du géant de l’électronique. Il vient apporter une nouvelle pierre à un édifice constitué à présent de 80 optiques.

Sommes-nous en train d’assister à « bouleversement » dans le monde des zooms ? Longtemps, le trio 16-35 mm (voire 12-24 mm), 24-70 mm et 70-200 mm à ouverture constante f/2,8 a constitué l’alpha et l’oméga du kit de tout bon photographe.

Pourtant, depuis la démocratisation des hybrides, cet héritage des reflex des années 1990, est battu en brèche. En effet, Canon avait tiré le premier coup avec son RF 28-70 mm f/2 L USM il y a bientôt 7 ans. Sony a répondu en 2024 avec un modèle équivalent, mais allégé et peaufiné.
Dans l’intervalle, Sigma avait dégainé un 28-105 mm f/2,8 DG DN Art, qui est, selon nous, bien plus pertinent que le classique transstandard 24-70 mm f/2,8. Face à ces transstandards revisités, on retient aussi Tamron, puis Samyang, qui avaient lancé des zooms lumineux, se voulant aussi compétents pour la photo du quotidien que pour le sport, avec les 35-150 mm f/2-2,8.

Ainsi, avec son nouveau zoom, Sony pousse cette logique encore plus loin avec un caillou d’exception qui pourrait séduire des portraitistes aux professionnels de la photo de sport.
Pour ce faire, ce nouveau zoom se repose sur une formule optique très avancée, composée de 19 éléments répartis en 17 groupes. On y retrouve deux lentilles Super ED, deux verres XA, deux lentilles asphériques et trois verres ED. Sony promet une image très piquée dès la pleine ouverture et sur toute la plage focale. Sacrée ambition !
Le plus impressionnant est bien entendu cette ouverture constante maximale de f/2. Cette large ouverture implique assez logiquement une optique à gros gabarit. Pour autant, les ingénieurs de Sony ont travaillé pour que ce 50-150 mm f/2 ne se montre guère plus imposant qu’un classique zoom 70-200 mm f/2,8.

Un diaphragme à 11 lamelles assurant un bokeh prononcé, mais doux. La distance de mise au point fluctuant de son côté entre 40 cm à 50 mm et 74 cm à 150 mm.
L’autofocus est assuré par un quadruple moteur XD linéaire qui équipe les zooms les plus performants du constructeur. Malgré son gabarit, il ne peut accueillir des téléconvertisseurs 1,4x ou 2x, ce qui entrave un peu son utilisation pour de la photo animalière, par exemple.
On notera aussi que l’objectif ne dispose pas de stabilisation optique. Ce compromis contribue à limiter son encombrement, mais peut représenter une contrainte, en particulier à la focale maximale ou en conditions de faible luminosité. Le risque de flou de bougé est important, malgré la grande ouverture f/2.
Voici la liste des caractéristiques du Sony FE 50-150 mm f/2 GM :
- plage focale : 50-150 mm (équivalent 75-225 mm en APS-C)
- objectif pour : capteur plein format
- ouverture max : f/2
- ouverture min : f/22
- angle de champ : 47° – 16°25′
- construction optique : 19 lentilles réparties en 17 groupes dont 2 lentilles en verre super ED, 2 lentilles XA et 2 lentilles asphériques, 3 verres ED
- diaphragme : 11 lamelles
- distance minimale de mise au point : 40 cm (50 mm) à 74 cm (150 mm)
- stabilisation d’image : non
- tropicalisation : protection contre l’humidité et la poussière
- grossissement max : 0,2x
- mise au point : autofocus, 4 moteurs linéaires XD
- diamètre du filtre : 95 mm
- dimensions (D x L) : 102,8 x 206 mm
- poids : 1340 g
- accessoires fournis : bouchons avant et arrière, pare-soleil, pochette de transport, sabot de collier de pied
- monture compatible : Sony E
- prix au lancement : 4399 €
Construction et ergonomie du Sony FE 50-150 mm f/2 GM
Si vous avez un jour utilisé un télézoom 70-200 mm f/2,8, ce nouveau 50-150 mm f/2 ne vous dépaysera pas. En effet, s’il est plus imposant sur la papier, il fait en fait la même longueur que le FE 70-200 mm f/2,8 GM OSS II, soit 20,6 cm. Ouverture f/2 oblige, son diamètre maximal est plus grand : 10,2 cm, contre 8,8 cm.

Une grand ouverture implique aussi une plus grande lentille frontale. Ceux qui voudraient installer un filtre devront investir dans une pièce de verre de 95 mm de diamètre ! Plus large, mais aussi long, ce 50-150 mm fait étrangement plus trapu et semblerait presque plus petit en main, car plus dense.

Pour autant, bien que plus lourd à 1,34 kg que le 70-200 mm f/2,8 GM II (1,045 kg), ce nouveau zoom est aussi… plus léger que le premier 70-200 mm f/2,8 de Sony ! Similaire au Sigma 70-200 mm f/2,8 DG DN OS Sports, il se paye même le luxe d’être moins lourd que le Nikkor Z 70-200 mm f/2,8 VR S. Néanmoins, tous ces zooms sont dotés de la stabilisation optique, contrairement à ce 50-150 mm. Cela doit bien jouer sur la masse totale.

Mais quel que soit l’angle sous lequel on l’aborde, la qualité de fabrication du zoom Sony s’impose comme une évidence. Sa place au sein de la série G Master n’est pas usurpée.

Comme tous les télézooms et longues focales G ou GM de la firme, ce 50-150 mm adopte une robe blanc cassé, pensée pour mieux résister aux expositions prolongées au soleil… et pour faire plus « professionnel ».

Concernant les contrôles, on retrouve le lot classique pour les objectifs G Master non stabilisés :
- bague de diaphragme (décrantable et verrouillable)
- commutateur AF / MF
- commutateur DMF
- trois boutons paramétrables
- bague de zoom
- bague de mise au point

Le zoom se fait en interne, ce qui est toujours bien pratique. La course de la bague de zoom se montre assez réussie, à la fois suffisamment souple et courte pour que l’on puisse passer de 50 à 150 m aisément. On ne trouve pas ici de loquet pour alterner entre une course souple ou dure – une option pourtant fréquente sur les zooms GM depuis quelques années.

Un petit grief concerne la fin de la course, que ce soit à 50 ou 150 mm, on a parfois l’impression que la bague « tape » contre les parois internes. L’objectif émet un bruit assez sec et peu rassurant. Des petits « coussins » de part et d’autre pour amortir le choc auraient été pertinents.
La bague de mise au point offre aussi une rotation assez précise, moins fluide que ce que l’on a pu constater sur le FE 28-70 mm f/2 GM, par exemple.
Pensé pour affronter les environnements exigeants, cet objectif bénéficie d’une conception robuste intégrant de nombreux joints d’étanchéité. Il se montre ainsi parfaitement apte à affronter la poussière et l’humidité, autorisant une utilisation sereine en extérieur, y compris sous une météo capricieuse.

Enfin, par souci de limiter toujours plus l’encombrement, le télézoom Sony bénéficie d’un nouveau pare-soleil, plus court et discret.
Les ingénieurs de la firme ont bien travaillé pour limiter au maximum l’encombrement général de la bête et faciliter son utilisation à main levée. Un fait que les photographes de mariage apprécieront.

Ceci étant dit, ce zoom Sony demeure une optique globalement imposante, et si d’aucuns souhaitaient s’en servir au bord d’un terrain, l’utilisation d’un monopode sera plus que bienvenue et contribuera aussi à limiter le risque de flou de bougé.
Enfin, si le gabarit de l’objectif est bien maîtrisé, la focale demeure finalement assez courte et les amateurs de photos animalières ou de sport en extérieur risquent d’être un peu limités dans leur pratique. D’autant qu’il est impossible d’y insérer des téléconvertisseurs…
Qualité d’image du Sony FE 50-150 mm f/2 GM
Pour tester le piqué de ce zoom Sony, nous l’avons utilisé avec un Sony A1 II et son capteur plein format de 50,1 Mpx, ainsi qu’avec un Sony A7 IV, doté d’un capteur de 33 Mpx.
N’hésitez pas à cliquer sur chaque image pour l’afficher en qualité optimale.



Netteté
La netteté est un domaine où cet objectif brille particulièrement. À 50 mm, et dès la pleine ouverture à f/2, les images offrent un excellent niveau de détail au centre, avec une légère baisse de piqué et de contraste dans les coins.

En fermant l’ouverture à f/2,8, on constate une petite amélioration de la netteté au centre de l’image, qui atteint alors un niveau quasi optimal. En revanche, les bords conservent encore un léger manque de précision.

Il faut attendre une ouverture de f/4, et plus encore f/5,6, pour obtenir une restitution homogène de la netteté sur l’ensemble du champ. Cela dit, dès f/2,8, le centre frôle déjà la perfection.

En prolongeant la focale jusqu’à 100 mm, on observe une nette progression du piqué ainsi qu’une meilleure homogénéité dès l’ouverture f/2, avec un rendu exceptionnel dès f/2,8.

Cette tendance se confirme quasiment à l’identique lorsqu’on atteint les 150 mm. Les clichés obtenus sont riches en détails, présentent un contraste marqué et une restitution des couleurs particulièrement fidèle.


Ce 50-150 mm f/2 offre une excellente qualité d’image dès f/2, à la hauteur de ses prétentions. Aussi, et assez logiquement, on peut le voir comme le prolongement direct du 28-70 mm f/2.
Si l’on devait mettre les images des deux optiques les unes à la suite des autres, on pourrait croire qu’il s’agisse d’une seule et même focale 28-150 mm f/2 ! On peut toujours rêver pour un jour voir débarquer un zoom pareil.


Distorsions
Au niveau des déformations optiques, l’objectif est plutôt un bon élève, même s’il n’est pas exempt de défauts.
On note ainsi des distorsions en barillet un peu prononcées à 50 mm. Aux focales médianes, les déformations s’atténuent grandement et tendent même à s’inverser. Ainsi, elles se transforment en distorsions en coussinet à 150 mm. La déformation est même plus marquée qu’au plus grand-angle.


Ce phénomène est corrigé automatiquement sur les hybrides Sony, mais les corrections intégrées n’étaient pas encore prises en compte par Lightroom au moment de notre test. Il faudra donc corriger à la main, ou attendre une future mise à jour d’Adobe.
Aberrations chromatiques
Les lentilles XA et ED remplissent efficacement leur rôle, même en conditions de fort contraste. Les aberrations chromatiques, qu’elles soient violettes ou vertes, sont quasiment absentes, ce qui permet d’éviter un travail de correction laborieux en post-production.


Que ce soit à 50, 100 ou encore 150 mm, on ne décèle pas de dérives colorimétriques majeures si ce n’est pour une légère perte de contraste dans les zones floues. Dès f/2,8, le phénomène s’atténue et disparaît totalement à f/4.
Vignettage
Sans surprise, avec une optique moderne et si lumineuse, le vignettage est très présent aux plus grandes ouvertures.
On observe ici un comportement assez similaire à toutes les focales. À f/2, l’assombrissement des coins est très marqué, à tel point que l’on a presque l’impression de perdre 1 stop de luminosité.


Le problème demeure assez remarquable encore à f/2,8 et diminue plus nettement à f/4, il faudra attendre néanmoins f/5,6 pour qu’il s’estompe plus significativement. Vous pouvez toujours les corriger sans trop de difficultés au développement ou vous reposer sur les corrections internes appliquées aux JPEG dans le boîtier.
Bokeh
C’est lorsque l’on observe le flou d’arrière-plan que l’on comprend toute la pertinence d’une ouverture f/2. À 50 mm le bokeh est déjà très marqué, offrant une image avec un fort cachet. Les bulles de flou sont bien rondes et dépourvues de défauts.

En poussant la focale à 150 mm, on obtient ici une optique portrait très impressionnante. Le résultat n’est pas si éloignée de ce que l’on peut observer chez un 135 mm f/1,8. Le sujet est très bien découpé de l’arrière-plan, qui s’efface alors complètement. Les amateurs du genre tiennent ici un caillou d’exception.



Autofocus
Le système autofocus repose sur 4 moteurs linéaires XD et ils offrent une mise au point rapide, précise et silencieuse. On commence à connaître ces moteurs, qui équipent les optiques les plus récentes du constructeur.

Associé à un appareil comme le Sony A1 II, le zoom ne souffre d’aucun ralentissement. L’acquisition du point est pratiquement instantanée. À 50 ou 150 mm, à f/2 ou f/16 : rien ne semble perturber l’objectif.

Nous avons pu étrenner le zoom lors d’un match de football entre le Paris FC et Clermont Foot, et même à 30 i/s, le seul moment où le point peut être perdu, c’est qu’un sujet tiers a fait son apparition dans le champ et a perturbé le sujet initialement acquis. Néanmoins, si le point est perdu sur 1 ou 2 images, le couple boîtier + zoom le récupère très vite.

De même, on a pu mettre à l’épreuve l’optique avec de la photo d’animaux ou encore d’insectes. Ici encore le résultat fut vraiment très probant et si on n’avait pas immédiatement le point c’est que la cible était trop petite dans le cadre.


Les vidéastes seront ravis d’apprendre que le focus breathing est virtuellement absent. De plus, le zoom étant parafocal, il sera possible de conserver la mise au point, même en zoomant, un atout pour les productions filmées.
(Absence de) stabilisation
Un dernier point à évoquer : l’absence de stabilisation optique. Si ce point reste généralement peu gênant à la focale 50 mm, il peut s’avérer plus problématique au-delà de 100 mm – et surtout à fond de zoom, en particulier en conditions de faible luminosité ou à des vitesses d’obturation lentes.
Dans la plupart des situations, cela ne devrait pas poser de souci majeur, sauf si vous tentez des poses très longues à main levée, où les résultats risquent d’être nettement moins prévisibles.

Pour le sport ou l’animalier, où l’on aura tendance à privilégier des temps de pose très courts, cela ne sera pas forcément contraignant non plus. Toutefois, on aurait apprécié pouvoir compter sur une stabilisation optique, même au prix d’une centaine de grammes supplémentaires…

Ceci étant dit, grâce à la stabilisation améliorée du Sony A1 II, nous avons réussi à obtenir de très bons résultats. Ainsi, à 150 mm, nous avons pu tenir jusqu’à 1,3 seconde, soit tout près des 8 stops de gain annoncés par le constructeur !
Retrouvez ci-dessous une sélection d’images capturées avec le Sony FE 50-150 mm f/2 GM :





























Face à la concurrence
Malgré une plage focale et une ouverture uniques, il est possible d’identifier plusieurs concurrents plus ou moins directs à ce zoom Sony 50-150 mm f/2.
Le premier rival n’est autre Tamron 35-150 mm f/2-2,8 Di III VXD, dont la plage focale et l’ouverture sont assez similaires. Lancé en septembre 2021, le zoom le plus haut de gamme de Tamron se distingue par sa polyvalence et son ouverture maximale glissante… mais lumineuse. La performance est moins impressionnante que chez Sony, mais ce zoom Tamron dispose de nombreux arguments, à commencer par une très bonne qualité d’image, une ergonomie avancée et un tarif de 1850 €, bien inférieur à celui de l’optique Sony.
Dans la même logique, on pourra citer son « clone » sud-coréen : le Samyang AF 35-150 mm f/2-2,8 FE. Samyang avait un peu surpris tout le monde au printemps 2023, en proposant un zoom quasiment identique à celui de Tamron. C’est une bonne alternative, avec une construction de bonne facture et un piqué tout à fait décent. Il pèche principalement par son poids important (bien que toujours plus léger que le zoom Sony). Et surtout, affiché à peine plus de 1000 €, il est 4 fois moins cher que l’optique japonaise !
Plus classiquement, on pourrait aussi citer le fameux Sony FE 70-200 mm f/2,8 GM OSS II. Le télézoom « idéal » n’a rien perdu de sa superbe depuis son lancement en octobre 2021. Il s’agit d’un objectif presque parfait, offrant une ergonomie très réussie, matérialisée notamment par un poids à peine supérieur au kilogramme. De plus, le piqué est très bon dès f/2,8 et l’autofocus se montre sans faille. Un zoom excellent encore affiché à son prix de lancement de 2999 €.
Le Sigma 70-200 mm f/2,8 DN DG OS Sports est également une très bonne alternative. Lancé en octobre 2023, ce télézoom propose un niveau de finitions aussi haut que son piqué. Bien construit et précis, il constitue une excellente référence, même si toujours un peu lourde pour un zoom – moderne – de ce type. Il est vendu pour 1699 €.
Enfin, il ne faudrait pas négliger le Tamron 70-180 mm f/2,8 Di III VC VXD G2. Lancé en septembre 2023 et offrant une plage focale toute aussi atypique, cette deuxième version – stabilisée – propose une construction toujours allégée, mais plus aboutie et a vu son niveau de netteté rehaussé. Un excellent choix vendu de surcroit pour « seulement » 1489 €.
Sony FE 50-150 mm f/2 GM : un excellent ovni
Sony repousse toujours un peu plus loin les limites de l’optique avec ce FE 50-150 mm f/2 GM. Redoutable de polyvalence, il allie grande ouverture f/2 avec une ergonomie professionnelle, le tout dans un gabarit maîtrisé pour un caillou si spécial.
Il propose un haut niveau de piqué dès la pleine ouverture, tout en permettant de s’adonner à de nombreuses disciplines photo : portraits, mariages, sports (en intérieur), etc. On peut le voir comme un complément (de luxe) au FE 28-70 mm f/2 GM, avec qui il partage le même comportement optique. Son autofocus se montre de plus terriblement précis.

Au registre des doléances, on notera que malgré son imposant gabarit, il n’est point doté de la stabilisation optique, ce qui aurait été un plus. De même, on aurait apprécié pouvoir utiliser les téléconvertisseurs 1,4x ou 2x avec ce zoom. On aurait pu envisager transformer ce Sony en 100-300 mm f/4 – une optique très intéressante.
Ceci étant dit, le Sony FE 50-150 mm f/2 GM demeure un zoom très impressionnant à plus d’un titre. Un objectif pour les photographes très exigeants qui accepteront de débourser les quelques 4399 € demandés par Sony. De fait, ce nouveau zoom devient l’optique Sony la plus chère au catalogue (très longues focales GM mises à part).
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