Histagrams : les moments de l’Histoire vus sous le prisme d’Instagram

L’imagination est sans limite : après avoir imaginé comment les personnages de l’Histoire auraient pu utiliser les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter (avec notamment les épisodes des guerres mondiales), voilà qu’on s’attaque à Instagram avec Histagrams. C’est tout simplement la compression d’Histoire et d’Instagram, et comme vous vous en doutez, c’est parfois marrant, parfois beaucoup moins.

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Les deux créateurs du site, Gusto NYC et Gavin Alaoen, qui travaillent chez MTV et sur Photoshop toute la journée, aiment, comme ils disent, « exercer leur muscle créatif », et réalisent donc de temps en temps des projets comme celui-ci en dehors de leurs activités professionnelles.

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Bien entendu, on est souvent en plein anachronisme, et c’est justement ce qui fait sourire ou froncer des sourcils. Une chose est sûre, avec les médias sociaux et les smartphones, l’histoire ne sera plus écrite de la même manière.

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Retrouvez l’ensemble de ces Histagrams et bien d’autres sur le Tumblr Histagrams.

Fondateur et rédacteur en chef

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  1. À partir de 2006, le 10 mai déclaré à la demande du président de la République, Jacques CHIRAC, Journée de la mémoire de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions , a fait l’objet d’une note de service publiée sous forme d’un encart au BO n° 16 du 20 avril 2006 adressé aux rectrices et recteurs d’académie, au directeur de l’académie de Paris, aux inspectrices et inspecteurs d’académie, directrices et directeurs des services départementaux de l’éducation nationale. Cette note de service revient sur l’engagement du Chef de l’État affirmant le 30 janvier 2006 qu’« au-delà de l’abolition, c’est aujourd’hui l’ensemble de la mémoire de l’esclavage longtemps refoulée qui doit entrer dans notre histoire : une mémoire qui doit être véritablement partagée », en appelant à la responsabilité de l’éducation nationale, et demandant qu’au-delà de cette commémoration, « l’esclavage devait trouver sa juste place dans les programmes de l’éducation nationale à l’école primaire, au collège et au lycée ». Elle renvoie à la circulaire n° 2005-172 du 2 novembre 2005 , publiée au BO n° 41 du 10 novembre 2005, qui sous le titre  » Devoir de mémoire – Mémoire de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions « , invitait « les rectrices et recteurs d’académie à sensibiliser tous les acteurs du monde éducatif à la mise en œuvre de projets relatifs à l’esclavage, à la traite et à leurs abolitions, dans le cadre des enseignements et des actions éducatives ». En annexe, sont joints sans commentaire, sept extraits de textes empruntés à Jacques-Henri BERNARDIN DE SAINT-PIERRRE, CONDORCET, Léon-Gontran DAMAS, Léopold Sédar SENGHOR, Aimé CÉSAIRE et LECONTE DE LISLE.