En juin 2022, Sony dévoilait trois objectifs APS-C – dont le Sony E PZ 10-20 mm f/4 G. Ultra compact et léger, cet objectif ultra grand-angle est doté d’un zoom motorisé. En plus de la bague de zoom, il se dote en effet d’une commande de zoom sur le côté du fût. Cet objectif vise ainsi les vidéastes mais aussi les photographes, équipés d’un hybride Sony APS-C.
Quelle qualité d’image ce zoom permet-il d’obtenir ? En quoi cette motorisation est-elle un plus pour cet objectif ? Nous avons testé l’objectif pendant plusieurs semaines et voici notre test complet du Sony E PZ 10-20 mm f/4 G.
Sommaire
Présentation du Sony E PZ 10-20 mm f/4 G
Presque 10 ans après l’annonce de son premier zoom UGA, Sony a dévoilé le Sony E PZ 10-20 mm f/4 G, un zoom à ouverture f/4 constante qui vise à moderniser le parc optique pour hybride APS-C. Son prédécesseur, le Sony E 10-18 mm f/4 OSS avait été annoncé le 12 septembre 2012, à l’époque où les boitiers APS-C prenaient le doux nom de NEX.
Depuis, beaucoup d’eau a coulé sous la monture E et le passage à un usage hybride photo et vidéo s’est fait, avec la nécessité de nouvelles optiques répondant à un cahier des charges précis : autofocus très réactif et silencieux, zoom motorisé et compacité. Ce nouvel objectif Sony coche donc toutes les cases sur le papier.
Avec sa fonction “Power Zoom”, l’objectif vise clairement les férus du format vidéo, et vient accompagner le lancement du Sony ZV-E10, un hybride APS-C taillé pour la vidéo. Pour autant, il fera également un objectif photo intéressant grâce à sa plage focale ultra grand-angle aussi bien adapté à la photographie de paysage, d’architecture, que pour de la photographie de rue par exemple.
En termes de construction optique, le Sony E PZ 10-20 mm f/4 G dispose de 11 lentilles réparties en 8 groupes, avec 3 lentilles asphériques, 1 lentille asphérique ED et 2 lentilles en verre ED (dispersion ultra-faible) permettant de lutter efficacement contre les aberrations chromatiques, les effets de flare et de ghosting. L’objectif dispose également d’un diaphragme circulaire à 7 lamelles.
Côté distance de mise au point, cet objectif est capable de faire la MAP à 20 cm du sujet avec l’autofocus activé. En passant en mise au point manuelle, il est possible de descendre de 13 à 17 cm, ce qui permet d’obtenir un rapport de grossissement maximal de 1:5,5 et ainsi coupler faible profondeur de champ et angle de champ large.
Le Sony E PZ 10-20 mm f/4 G utilise un système à double-moteur linéaires XD, technologie que l’on retrouve sur certains zooms Sony dont le FE PZ 16-35 mm f/4 G. Celle-ci doit offrir une mise au point à la fois silencieuse, rapide et avec un suivi du sujet, très utile en photo mais surtout en vidéo.
Si cet objectif dispose d’une construction résistante à l’humidité et à la poussière, avec plusieurs joints d’étanchéité, sa lentille frontale ne dispose pas de traitement au fluor.
Plus important, l’optique fait l’impasse sur la stabilisation optique. En soi, cela n’est pas gênant pour un ultra grand-angle, même s’il aurait été intéressant d’ajouter une stabilisation pour venir compenser l’absence d’IBIS sur le Sony ZV-E10. En vidéo, il faudra donc utiliser la stabilisation numérique du boîtier, moyennant un recadrage de l’image (1,44 x).
Enfin, notons que cet objectif vient se ranger aux côtés des Sony E 11 mm f/1,8 et Sony E 15 mm f/1,4 G, deux focales fixes très compacts dédiées aux hybrides APS-C de la marque orange et noire.
Voici les caractéristiques techniques du Sony E PZ 10-20 mm f/4 G :
- plage focale : 10-20 mm (équivalent 15-30 mm en plein format)
- objectif pour capteur APS-C ou Super 35 mm
- ouverture max : f/4
- ouverture min : f/22
- angle de champ : 109°-70° (en APS-C)
- construction optique : 11 éléments répartis en 8 groupes, dont 3 lentilles asphériques, 2 lentilles ED et 1 lentille asphérique ED
- diaphragme : circulaire à 7 lamelles
- distance minimale de mise au point : 20 cm (AF activé) / 13-17 cm (AF désactivé)
- stabilisation : non
- tropicalisation : construction résistante à l’humidité et à la poussière
- grossissement max : 0,18x
- mise au point : autofocus, 2 moteurs linéaires XD
- diamètre du filtre : ø 62 mm
- dimensions : ø 69,8 mm x 55 mm (D x L)
- poids : 178 g
- accessoires fournis : pare-soleil et bouchons d’objectif
- monture compatible : Sony E
Prise en main du Sony E PZ 10-20 mm f/4 G
En découvrant le produit, nous sommes très agréablement surpris par la légèreté et la compacité de cet objectif. Même s’il n’ouvre qu’à f/4, cet objectif offre une solution idéale pour se marier avec un petit hybride APS-C de chez Sony, offrant un kit passe-partout. D’ailleurs, il s’agit selon Sony du zoom f/4 ultra grand-angle pour APS-C “le plus petit et le plus léger du monde”. La comparaison reste cependant facile, tant il existe peu d’alternative, mais passons.
Dans les faits, cet objectif 10-20 mm f/4 mesure 55 mm de long pour un diamètre maximal de 69,8 mm. Sur la balance, n’optique ne dépasse pas les 200 g avec seulement 178 g, une petite prouesse technique. En guise de comparaison, le Sony E 10-18 mm f/4 OSS – doté d’une stabilisation optique – pèse 225 g et mesure 70 mm de long.
Sur le terrain, ce poids plume permet de l’emporter dans son sac sans hésiter. On notera également que le zooming se fait de manière interne, un petit avantage comparé au 10-18 mm. Cela en fait un outil idéal pour une gimbal.
La qualité de construction est également plutôt bonne. Bien sûr, pour réussir ce tour de force en termes de légèreté, Sony fait appel à du polycarbonate. Mais, comme indiqué plus haut, il n’oublie pas pour autant la tropicalisation. Attention, seuls les A6400 et A6600 sont protégés contre les intempéries, ce qui n’est pas le cas du ZV-E10.
Comme expliqué plus haut, cet objectif dispose d’un zoom motorisé. Ainsi, deux commandes permettent d’activer le mécanisme de zoom : une molette de zoom (W/T) qui est facilement accessible sur le côté de l’objectif avec le pouce, ainsi qu’une bague de zoom linéaire à commande “virtuelle” qui actionne le moteur interne. Un mécanisme que nous avions déjà croisé sur l’objectif Sony FE PZ 16-35 mm f/4 G, conçu pour les boîtiers plein format.
Ladite bague ne possède donc pas de butée. Mais surtout, la vitesse de zooming est réglable, que ce soit pour le levier de zoom ou pour la bague. En plus de cela, le zoom peut être activé à l’aide de la molette de zoom sur le Sony ZV-E10 qui est, disons-le, le boîtier qui se mariera le mieux avec cette optique pensée pour la vidéo.
Sans mettre l’oeil dans le viseur, vous ne saurez pas à quelle focale vous vous trouvez, aucune indication n’étant présente sur l’objectif. La bague est d’ailleurs un peu trop souple selon nous.
Tout à l’avant de l’objectif, on retrouve une bague de mise au point, qui elle aussi actionne un moteur interne et ne dispose pas de butée. Sa résistance est bien calibrée et permet une mise au point précise. Elle fonctionne de manière linéaire : une rotation de 120° permet de passer de la distance minimale à l’infini.
Sous la molette de zoom, on retrouve un bouton de verrouillage de la mise au point. Comme d’habitude sur les optiques Sony, ce bouton peut également être personnalisé sur le boîtier. Un commutateur AF/MF se trouve également sous le fût de l’objectif.
Ici, nous faisons les mêmes remarques que lors de notre test du Sony FE PZ 16-35 mm f/4 G : si vous pratiquez essentiellement de la vidéo, ce système de zoom motorisé devrait vous faciliter le travail. Cela diminue drastiquement le risque de vibrations causées par la manipulation de l’objectif, et la possibilité de zoomer à vitesse constante, voire même très lentement, est très recherché par les vidéastes.
Si vous ne faites que de la photo, cela vous donnera l’impression de repasser à un compact expert avec une commande de zoom.
Cet objectif, contrairement à son alter-ego plein format, ne dispose pas de bague d’ouverture manuelle : pour cela, il faudra utiliser la commande du boîtier.
Qualité d’image du Sony E PZ 10-20 mm f/4 G
Après avoir abordé son utilisation, quelle est la qualité des images capturées à travers ce zoom ultra grand-angle de chez Sony ? Nous avons eu l’occasion de le tester sur deux boîtiers, un Sony ZV-E10 et un A6400. N’hésitez pas à cliquer sur les images pour les afficher en qualité optimale.
De manière générale, les peformances de cet objectif sont étonnantes, surtout pour un zoom de cette taille. Ainsi, le niveau de détail est très bon et l’optique bénéficie d’une très bonne homogénéité, et ce dès la pleine ouverture à f/4.
À 10 mm, le piqué est très présent au centre dès la pleine ouverture à f/4. En regardant les bords, on retrouve un piqué en léger retrait, mais celui-ci s’améliore en fermant d’un ou deux stops – pour devenir excellent à f/5.
Point étonnant, le centre de l’image est excellent dès f/4-5,6 et il n’est pas nécessaire de fermer davantage pour améliorer le piqué. Ainsi, au grand angle, l’homogénéité maximale est obtenue à f/5,6, ce qui est remarquable pour ce genre d’objectif. À partir de f/11 le piqué commence à diminuer du fait de la diffraction. Et à f/16-22, mieux vaut éviter d’utiliser l’optique car la perte de détails est encore plus importante.
A mi-distance, à 15 mm, rebelote : le centre est parfaitement piqué dès f/4. Cependant, l’optique est encore plus homogène qu’à 10 mm, avec des bords également très nets dès f/4. En clair, le sweet spot est obtenu dès la pleine ouverture : un vrai sans faute pour Sony. D’ailleurs, la qualité d’image diminue ensuite en fermant d’avantage l’optique, par exemple dès f/8.
Enfin, à 20 mm, les résultats sont … identiques : piqué maximal dès f/4 au centre et jusqu’à f/8. Sur les bords, la netteté est très bonne – mais en chipotant on obtient une sensation de piqué supérieure en fermant à f/5,6. Mais il faut vraiment chercher.
Pour faire simple : Sony semble avoir optimisé aux petits oignons sa formule optique afin d’offrir le maximum de piqué dès la pleine ouverture, et ce à toutes les focales. Certes, nous sommes à f/4 et en APS-C, mais les performances sont louables.
Quid des aberrations chromatiques ? On ne va pas se mentir : on peut retrouver quelques très légères aberrations chromatiques, notamment avec des franges mauves, sur certains contours d’éléments, comme par exemple des feuillages sur un arrière-plan lumineux, ou des néons. Mais il faut zoomer dans l’image pour les apercevoir.
En termes de flare et de ghosting, cet objectif est un excellent élève. Avec le pare-soleil, nous avons remarqué une excellente résistance au flare, même avec un soleil de face ou venant sur le côté.
Sur le sujet du vignetage, les bords de l’image sont plus sombres à f/4, peu importe la focale, mais le vignetage se réduit considérablement en fermant le diaphragme, même s’il ne disparaît jamais vraiment. Pour autant, la correction automatique appliquée par le boîtier sur les fichiers JPEG ou les vidéos ainsi que le profil de correction disponible sur certains logiciels comme Lightroom pour les fichiers RAW vient parfaitement corriger ce problème.
C’est également le cas pour les distorsions. Sans correction du boîtier ou profil de correction, les lignes sont clairement tordues. Au plus grand-angle, on observe une très forte distorsion en barillet (sur le RAW) ainsi qu’une belle anarmorphose de volume (les sujets au bord de l’image étant nettement étirés en largeur). A 15 mm, la distorsion en barillet est toujours présente, mais un peu réduite.
Par contre, à 20 mm, une distorsion en coussinet vient tordre les lignes horizontales et verticales. Heureusement, Lightroom Classic (depuis LR Classic 11.5) prend en compte la correction automatique des distorsions et vous ne devriez ainsi rien voir à l’écran.
En termes de bokeh, n’attendez pas trop de ce 10-20 mm f/4. La combinaison de son ouverture f/4, de l’angle de champ large et du capteur APS-C font qu’il est difficile d’obtenir de jolies bulles de bokeh très visibles, sauf peut-être à 20 mm et à la plus faible distance de mise au point. Le flou d’arrière-plan n’est également pas des plus agréables quand beaucoup d’éléments en arrière-plan sont présents.
En parlant de distance minimale de mise au point, il est possible de se rapprocher de son sujet en MAP manuelle, jusqu’à 13 cm à 10 mm et 17 cm à 20 mm. Cela permet de réaliser quelques gros plans et de pratiquer la proxiphotographie avec un angle de champ assez large.
Autofocus du Sony E PZ 10-20 mm f/4 G
Quid des performances autofocus de cet objectif, taillé pour les vidéastes – mais aussi pour les photographes ? Grâce à ses 2 moteurs linéaires XD, les performances autofocus de cet objectif sont excellentes.
Le mécanisme autofocus est inaudible – on se demande même parfois si l’on n’est pas en MAP manuelle. Heureusement, les petits carrés verts à l’écran rappellent que l’AF est opérationnel, et pleinement compatible avec les modes de suivi des boîtiers Sony comme le mode Real-Time Eye AF du Sony ZV-E10.
En photo comme en vidéo, la mise au point s’effectue de manière rapide, précise et offre une très bonne accroche sur son sujet, que ce soit un humain, un animal ou un objectif. Sony montre une fois encore son expertise en termes d’autofocus. Nous n’avons d’ailleurs pas rencontré de soucis en conditions de faible luminosité.
Couplé au mode “présentation de produits” du Sony ZV-E10, ce 10-20 mm permet de passer rapidement du sujet à un élément présenté en premier plan devant la caméra.
Le phénomène de focus breathing est très bien maîtrisé à 10 mm. Par contre, en zoomant à 20 mm, on observe un très léger changement de cadre, mais rien de trop visible.
Face à la concurrence
En monture E, la gamme d’optiques APS-C est un peu plus réduite qu’en plein format. Pour autant, plusieurs alternatives existent par rapport au Sony E PZ 10-20 mm f/4 G.
En premier lieu, mentionnons bien entendu le Sony E 10-18 mm f/4 OSS. Annoncé en septembre 2012, cet objectif pensé pour le photographe en voyage a été un pilier de la gamme optique APS-C chez Sony. Il dispose d’une stabilisation optique, ce qui le rend un peu plus compact et plus lourd que le 10-20 mm. De plus, sa construction optique est aujourd’hui un peu datée, avec un piqué en retrait sur les bords, un autofocus plutôt dédié à la photo qu’à la vidéo mais aussi une absence de tropicalisation. Aujourd’hui proposé à 749 €, il n’est plus vraiment pertinent, sauf à le trouver d’occasion.
L’autre alternative vient de Tamron, avec le 11-20 mm f/2,8 Di III-A RXD lancé en 2021. Deux fois plus lourd et également plus long d’environ 3 cm replié (et davantage en zoomant car Tamron n’utilise pas de zooming interne), cet objectif reste compact et bénéficie d’une ouverture plus lumineuse à f/2,8, idéal lorsque la luminosité vient à baisser. Il perd 1 mm de plage focale par rapport au Sony mais se rattrape avec une très bonne qualité d’image et un beau flou d’arrière-plan. Il est également à l’aise en vidéo avec un AF RXD réactif, précis et silencieux. Il est également résistant à l’humidité et à la poussière. Lancé à 899 €, il est aujourd’hui disponible neuf à 799 €, ce qui en fait une alternative de choix, notamment pour la photographie.
Enfin, une autre alternative existe avec le Tokina atx-m 11-18 mm f/2,8 E. Avec une plage focale plus réduite, ce zoom est deux fois plus lourd que le 10-20 mm Sony. Malgré sa plus grande ouverture, la qualité optique est en léger retrait par rapport aux propositions du Sony 10-20 mm et du Tamron 11-20 mm. De même, il n’est pas tropicalisé et son tarif de 799 € ne le place pas forcément comme challenger face aux autres propositions.
Comme vous le voyez, quelques alternatives plus lumineuses existent pour ce zoom ultra grand-angle, mais aucune ne vient rivaliser en termes d’encombrement, de légèreté ou bien encore d’ergonomie pour la vidéo.
A qui s’adresse le Sony E PZ 10-20 mm f/4 G ?
Contrairement au 10-18 mm f/4 OSS lancé en 2012 par Sony, cet objectif s’adresse avant tout à un public de vidéaste, voire de vlogger, notamment grâce à sa technologie de zoom motorisé PZ (Power Zoom).
Léger, compact et à ouverture constante, cet objectif APS-C offre donc une solution toute trouvée pour la vidéo – et qui peut également être utilisé en photo, dans une philosophie « hybride » photo + vidéo pleinement assumée.
En voyage, son poids et sa taille réduits en font une optique idéale, qui trouvera tout naturellement sa place dans n’importe quel sac photo, que ce soit monté sur un hybride de la série Alpha ou bien sur le ZV-E10. Son absence de stabilisation fera cependant qu’il sera plus adapté à un boîtier doté d’un capteur stabilisé comme l’A6500 ou l’A6600.
N’oublions pas également que cet objectif pourra également être utilisé sur un boîtier hybride Sony plein format pour tirer parti du format Super 35 en vidéo.
Reste que pour une utilisation purement photo, le double système de commande du zoom peut être assez déroutant, et ne conviendra pas à tout le monde.
Conclusion
Sony renouvelle son zoom ultra grand-angle APS-C de la plus belle des manières avec l’objectif E PZ 10-20 mm f/4 G. Doté d’une commande de zoom motorisé, cet objectif satisfera en premier lieu les vidéastes et vloggers à la recherche d’une solution à la fois compacte, légère et qualitative.
Avec un piqué optimal dès la pleine ouverture, ce zoom permet de profiter de la meilleure qualité d’image dès f/4, que ce soit à 10 ou à 20 mm. Son autofocus de dernière génération lui permet d’effectuer le suivi de son sujet de manière ultra-rapide, précise et surtout silencieuse, idéal en vidéo.
En termes d’ergonomie, si les vidéastes apprécieront sa profusion de commandes pensées pour un usage vidéo, celles-ci pourraient troubler les photographes, notamment la bague de zoom ultra-fluide.
Pour autant, ce 10-20 mm f/4 signé Sony séduira également les photographes à la recherche d’une solution compacte, utile notamment en photographie de voyage, d’architecture ou de paysage. Résistant à l’humidité et à la poussière, cet objectif manque seulement d’une stabilisation optique, un point d’autant plus utile que tous les hybrides APS-C Sony, dont le dernier ZV-E10, ne disposent pas d’un capteur stabilisé.
Le Sony E PZ 10-20 mm f/4 G est disponible à partir de 849 € chez Digit-Photo, IPLN, Miss Numérique, Camara, Photo-Univers, StudioSport, Amazon et à la Fnac.
Pour l’achat d’une Sony FX30 ou d’un ZV-E10 et de cet objectif, bénéficiez de 100 € remboursés jusqu’au 30 novembre 2022 (FX30) ou jusqu’au 31 décembre 2022 (ZV-E10).