Le Centquatre accueille le festival Circulation(s) pour sa quatorzième édition jusqu’au 2 juin 2024. Quatorze artistes sur 2000 m2 : l’ampleur et la qualité de ce festival de photographie contemporaine ne décroissent pas d’année en année, avec toujours cette forte attention portée aux évolutions esthétiques et politiques de la pratique.
La Galerie Polka plonge dans les archives de Gamma-Rapho-Keystone à la découverte des évènements les plus marquants du vingtième siècle. Des tirages argentiques d’époque ont été sélectionnés parmi l’immense collection de l’agence, composant ainsi un véritable panorama photographique de l’histoire récente à découvrir jusqu’au 25 mai 2024.
L’exposition « Photocollage » consacrée à Deborah Turbeville au Musée de la Photographie Huis Marseille (Amsterdam) es la première véritable rétrospective sur cette photographe encore trop confidentielle. À découvrir jusqu’au 16 juin 2024.
La Maison européenne de la photographie (MEP) accueille une exposition dédiée à Lisa Fonssagrives-Penn (1911 – 1992), première top model de l’histoire et muse des plus grands photographes de mode du XXe siècle. Cette rétrospective offre une immersion dans l’âge d’or de la photographie de mode à travers des tirages d’époque issus de sa collection personnelle.
La Bibliothèque François Mitterrand réunit les travaux des 200 photographes missionnés par le ministère de la Culture dans le cadre de la Grande commande pour le photojournalisme. L’exposition « La France sous leurs yeux » porte bien son nom : il s’agit d’un véritable panorama du pays au sortir de la crise sanitaire.
Photographie animalière et portrait : deux genres contradictoires ? C’est cette question que traite le Musée de la Photographie de Charleroi en exposant le travail d’Elliot Ross. Réunis sous le titre « Seeing Animals », ses portraits noir et blanc tout en poésie sont à découvrir jusqu’au 26 mai 2024.
Le Centre Tignous d’art contemporain de Montreuil accueille une exposition proposée par Christiane Vollaire et Philippe Bazin. « Des migrations aux quartiers populaires » nous permet de découvrir les portraits de Philippe Bazin, au plus près des personnes concernées par les questions migratoires et d’inégalité territoriale. À visiter jusqu’au 13 avril 2024.
Après avoir mis Stéphane Duroy à l’honneur, la Galerie VU’ revient à une photographie plus poreuse aux arts plastiques avec Yves Trémorin. L’exposition « Monde double » rassemble trois séries réalisées entre 1990 et 2013 : Les paysages celtiques, La dérivée mexicaine, et Viking. Cet ensemble autour de la question des mythes et de ses ricochets dans le monde d’aujourd’hui est découvrir jusqu’au 3 mai 2024.
La Galerie Rabouan Moussion à Paris présente "Dysnomia" de Vincent Fournier, du 16 mars au 27 avril 2024. Connu pour son exploration de la frontière entre le réel et l'imaginaire, Fournier invite les spectateurs dans un monde utopique où les dimensions du temps et de l'espace fusionnent, perturbant nos repères conventionnels.
Le Musée Charles Nègre de Nice accueille une exposition dédiée à Henri Dauman, disparu le 13 septembre 2023. Connu pour ses clichés emblématiques de l’Amérique des années 60, Henri Dauman a su capturer l’essence d’une époque à travers son objectif.
Marine Peixoto est à l’honneur au BAL avec « Bercy Street Workout. Photographies 2020-2023 », une exposition à visiter jusqu’au 19 mai 2024 ; à découvrir également au travers d’un ouvrage co-édité par Roma Publications. Près de 200 tirages nous permettent d’appréhender les trois années qu’il a fallu à Marine Peixoto pour documenter le quotidien sur le terrain municipal sportif de Bercy, au cœur du 12e arrondissement de Paris.
La série "Fièvre" de Lorenzo Castore est doublement à l’honneur via une exposition à découvrir jusqu’au 11 mai 2024 à la Galerie S., en plein cœur de Paris, accompagnée d’un ouvrage publié aux éditions Lamaindonne. L’occasion idéale de revenir sur le travail du photographe italien en se concentrant sur son œuvre personnelle, à la croisée de l’intime et de son esthétique de caractère.
Arno Brignon investit la tour de la Galerie du Château d’Eau avec « Us », une série issue de son voyage photographique à travers les États-Unis qu’il a réalisé entre 2018 et 2022 à l'aide de les pellicules argentiques périmées. À découvrir jusqu’au 14 avril 2024.
C’est à nouveau un travail produit dans le cadre de la Grande commande photojournalisme qu’on peut découvrir à la Galerie du Château d’Eau. Jusqu’au 14 avril 2024, Philémon Barbier présente « Rien à perdre », une série qui propose de documenter le milieu du rap toulousain, loin des poncifs habituels, mais plus près des principaux concernés.