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Test terrain du Fujifilm X100F

8
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Quelques mots sur le Fuji X100

Depuis la sortie de la première version en 2011, le Fujifilm X100 s’est forgé une belle réputation. Non exempt de bugs et ralentissements, il est rapidement venu équiper les photographes en quête de légèreté.

Les secondes et troisièmes versions sont venues corriger ces petits défauts qui avaient été amoindris par la mise à jour du Firmware (merci Fujifilm) et plus de 2 ans après l’annonce du Fuji X100T, Fujifilm lance le X100F.

Un mot sur les appellations de la gamme X100 :

  • Fuji X100S, « second » pour la deuxième version,
  • Fuji X100T, « third » pour la troisième version,
  • Fuji X100F, « four » pour la quatrième.

Reste à voir ce que la marque nippone va choisir comme appellation pour les prochaines versions…

Il est important d’apporter quelques précisions sur ce choix de boitier dans mon sac photo. J’aime beaucoup les focales fixes et le 35mm en particulier après avoir découvert le Sigma 35mm Art qui ne quitte plus mon D800.

Je cherchais un boitier compact avec lequel je puisse me balader, sans devoir avoir un sac avec moi, bien que le Domke F-831 ou le Ona Bag The Bowery soient bien adaptés pour les sorties urbaines. Il s’agissait ici de franchir une nouvelle étape sur l’allègement !

Je me suis alors intéressé à plusieurs boitiers comme le Ricoh GRII, le Fujifilm X70 et le X100S/T et je dois avouer qu’après avoir pris en main le X100T l’été dernier, je suis tombé sous le charme de ce petit boitier !

Lors de son annonce, c’était décidé, le X100F serait mon nouveau compagnon de jeu !

Toujours doté d’un capteur APS-C, cette dernière version est équipée du tout nouveau capteur X-Trans de 24Mp qui équipe également le X-Pro2 et le X-T2.

Prise en main et ergonomie

Esthétiquement, la quatrième déclinaison du Fuji X100 ressemble de très près au X100T, hormis sur la face arrière qui reprend désormais le positionnement des boutons des autres boitiers de la gamme Fuji X (X-pro2, XT-2, XT-20). Tous les boutons sont ainsi placés à droite de l’écran de 3 pouces et un joystick permet la sélection de collimateurs. Le bouton fonction Fn qui permettait d’activer le WiFi est supprimé, et sera appelé autrement.

Tous les boutons sont maintenant à droite de l’écran 3 pouces

La couronne des vitesses abrite maintenant le réglage des ISO. Il est nécessaire de soulever la couronne pour régler la sensibilité. Ce choix d’ergonomie nécessitera cependant de décoller l’oeil du viseur pour modifier ses réglages.

Le réglage des ISO se fait en soulevant la couronne de réglage de la vitesse. Ça me rappelle le changement de sensibilité de mon bon vieux Nikon FE2, j’adore !

Dernière différence esthétique avec ses aînés, l’apparition d’une molette de réglage sur la face avant permettant l’ajustement de certains réglages, et non de l’ouverture comme on a l’habitude de voir sur les boitiers réflex.

Une molette de réglage est venue accompagner le sélecteur du viseur hybride

Le boitier est léger, même une fois la batterie et la carte SD en place. Elles sont toujours disposées ensemble et au même endroit. On aurait préféré avoir un compartiment pour la carte sur le coté, comme ses cousins X-Pro 2, XT-2.

La taille du boitier est également la même que les précédents et il sera judicieux pour les photographes aux grandes mains, de poser un repose pouce, communément appelé « thumb up » sur la griffe flash, pour faciliter la prise en main.

Fujifilm proposait cet accessoire à son catalogue mais à plus de 150€, il n’est désormait plus disponible. Compréhensible quand on trouve un repose-pouce pour moins de 10€ sur Amazon, et qui remplit à 100% cette fonction.

Il aurait été très appréciable de retrouver le petit grip de pouce présent à l’arrière sur la gamme X-Pro.

Thumb Up ou « repose pouce », très utile pour améliorer la prise en main de l’appareil

Le Fuji X100F conserve le viseur hybride qui a fait sa réputation. Un viseur électronique (EVF) couplé à un viseur optique (OVF). Ce dernier est même assisté, si on le souhaite, d’un écran dans le coin inférieur droit, afin de faciliter le cadrage ou la mise au point. Il ne couvre cependant que 92% de la zone de capture, là où l’EVF le fera à 100%.

De gauche à droite, le viseur électronique, le viseur optique avec un petit écran d’assistance, le viseur optique seul

Le rafraîchissement de l’affichage du viseur électronique est de 60 images/s pour un affichage plus fluide de la scène.

Je trouve l’affichage dans l’EVF très bon et contrasté. On est ici loin du rendu que l’on retrouve en passant l’oeil dans l’incroyable viseur du Leica Q mais je me suis quand même souvent surpris à regarder mes photos dans le viseur, quand la luminosité rendait l’affichage sur l’écran peu lisible. La définition du viseur est d’environ 2,4Mp, largement suffisante pour avoir une bonne définition sur un écran de 0,48 pouces.

Design et finition

Le Fuji X100F est toujours disponible en gris ou noir (j’aurais adoré une version Graphite Silver) et la nouvelle façade avant est épurée de la mention « F », version du modèle.

La version du X100 n’est plus visible sur la face avant

Le boitier n’est toujours pas pourvu de traitement tout temps et de joints d’étanchéité permettant de l’utiliser dans des conditions difficiles. Une absence qui commence à se faire bien remarquer au regard de la hausse significative du prix (+200€) par rapport au X100T à sa sortie.

Les finitions sont très soignées, aucune imperfection esthétique n’est visible, tout semble être parfaitement construit.

Un seul hic, le viseur semble être facilement accessible pour quelques poussières motivées. Après seulement 1 mois d’utilisation soignée, quelques poussières sont venues se loger dans le viseur. Aucune gêne à la visée en OVF, mais c’est tout de même dommage.

Quelques poussières ont réussi à se glisser dans le viseur

Le bouton de déclenchement intègre toujours un filetage accueillant un déclencheur souple ou un « soft release », améliorant la sensibilité du déclenchement et le confort.

Le Soft Release Button, cet accesssoire permettant un déclenchement plus maitrisé est comme la pizza, il n’y a pas de traduction !

Objectif

Le 23mm f/2 (équivalent 35mm 24×36) n’a pas changé et assure une qualité d’image très bonne, homogène et piquée. Couplé au nouveau capteur X-trans 24Mp, l’objectif offre un rendu homogène et piqué, dès f/2.8.

Hérité des X-Pro2 et X-T2, ce capteur permet une montée aisée en sensibilité, jusqu’à 12.800 ISO mais ne donnera de très bons résultats que jusqu’à 5000 ISO. Une sensibilité supérieure sera à utiliser qu’en cas d’urgence, nous le verrons plus loin.

Les aberrations chromatiques sont quasi-inexistantes et seront très facilement corrigeables avec votre logiciel de traitement préféré, tout comme la distorsion de l’objectif, inévitable à cette focale sur des sujets proches et rectilignes.

Certains seront déçus de ne constater aucun changement du groupe optique depuis la création du X100, le choix de Fujifilm étant de tirer totalement partie de cet objectif avec le nouveau capteur X-Trans.

Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 – ¹⁄₈₀₀ s à f/8,0 – ISO 200
Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 – ¹⁄₁₁₀ s à f/6,4 – ISO 200
Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 – ¹⁄₄₂₀ s à f/5,6 – ISO 200
Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 – ¹⁄₂₂₀ s à f/5,6 – ISO 200
Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 – ¹⁄₃₀₀ s à f/6,4 – ISO 200
Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 – ¹⁄₁₇₀ s à ƒ / 5,6 – ISO 200
Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 – ¹⁄₂₀₀ s à f/5,6 – ISO 200
Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 – ¹⁄₉₅₀ s à f/5,6 – ISO 200
Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 – ¹⁄₁₆₀₀ s à f/3,2 – ISO 200
Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 – ¹⁄₁₂₅ s à f/3,2 – ISO 200
Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 – ¹⁄₂₀ s à f/2,8 – ISO 6400
Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 –¹⁄₁₄₀ s à f/11 – ISO 200

La bague de mise au point est électronique, c’est à dire qu’elle n’entraîne pas directement le groupe optique mais reçoit l’information sur le changement de mise au point de manière électronique. À l’usage, cela n’est pas différent d’une bague traditionnelle mais permet d’attribuer d’autre commande lorsqu’on est en mise au point auto par exemple.

Il est possible de lui allouer la fonction de recadrage à 50 et 70mm, uniquement lorsqu’on shoote en JPEG. Le réglage de la balance des blancs ou du filtre de simulation de film est également paramétrable.

L’objectif possède à son extrémité une bague dévissable afin d’accueillir un support de filtre et un pare-soleil, ou les compléments d’optique Fujifilm équivalents 28mm et 50mm.

Le pare-soleil se monte sur un support qui peut également accueillir un filtre de 49mm
Le pare-soleil se monte sur un support qui peut également accueillir un filtre de 49mm.

Fonctionnalités

Ce X100F dispose d’un nouveau menu avec davantage de réglages que les versions précédentes et permet ainsi à l’utilisateur de pousser plus loin la personnalisation de son boitier.

Parmi les réglages de base disponibles directement via la croix de sélection à l’arrière de l’appareil, plusieurs modes de prises de vues sont possibles :

  • Mode continu, permet une prise de vue en rafale de 3, 4, 5 et 8 vues par secondes,
  • Mode bracketing,
  • Mode panorama à main levée,
  • Mode exposition multiple,
  • Mode de filtres avancés utilisant des filtres créatifs (toy, miniature, couleurs partielles, etc.)
  • Mode vidéo

Une fois la prise de vue choisie, des profils de simulation de films vous permettent de retrouver les aspérités des films argentiques, couleur et noir & blanc Provia, Velvia, Astia, Classic Chrome, Acros, etc.

Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 – ¹⁄₁₅₀ s à ƒ/5,0 – ISO 200 – Simulation de film Classic Chrome

Pour les réglages de l’exposition, le Fuji X100F conserve toujours ses nombreuses couronnes de correction de l’exposition, du choix de la vitesse et de l’ouverture. Comme il a été évoqué en début de cet article, Fujifilm a été encore plus loin sur les réglages physiques en intégrant le choix de la sensibilité dans la molette de vitesse (c’est un peu comme le Vegemite/Marmite, on aime ou on déteste !)

Personnellement je m’y fais très bien, car j’utilise principalement le mode ISO auto, avec une sensibilité maximale à ne pas dépasser. Si cette méthode de réglage des ISO vous dérange, il est possible de dédier la molette de commande avant à cette fonction.

La position T de la couronne de vitesse permet, à l’aide de la molette arrière, de régler la vitesse d’obturation, de 30 secondes à 1/4000ème de seconde par palier de 1/3 IL. Le réglage de la vitesse est ainsi plus fin que les indications de la couronne.

De la même manière, lorsqu’une valeur de vitesse est choisie, il est possible de l’ajuster avec la molette.

La molette arrière permet, entre autre, d’ajuster le temps d’exposition lorsqu’une valeur est sélectionnée sur la molette

Il est possible d’envoyer sur son smartphone ou sa tablette les photos de son choix grâce à l’application Fujifilm Cam Remote. Afin de minimiser le nombre de boutons sur le boitier, l’envoi d’une photo se fait lors du visionnage sur le boitier via le bouton Fn qui se trouve sur le capot supérieur. Lors de la prise de vue, ce bouton permet par défaut de choisir la mesure de l’exposition.

Performances et qualité d’image

Qualité d’image et montée en ISO

N’ayant pas suffisamment emmené le X100T sur le terrain de la très haute sensibilité lorsque j’ai pu l’avoir en main, il m’est difficile de le positionner face au Fuji X100F.

Mais je peux dire que ce dernier s’en sort très très bien, au moins jusqu’à 3200 ISO.

Vous pouvez voir ci-dessous plusieurs clichés, avec différentes valeurs de sensibilité, en comparaison d’une image à 100ISO.

À 6400 ISO, le bruit commence à déranger la bonne lecture de l’image et les couleurs perdent de leur superbe.

Avec une qualité d’image à 3200 ISO très satisfaisante, il est ainsi possible de réaliser, de nuit, des clichés très propres, sans pour autant avoir de trépied.

Fujifilm X100F – 23.0 mm f/2 –¹⁄₃₀s à f/3.2 – ISO 6400 – On atteint la limite de la sensibilité avant que les couleurs et les détails disparaissent

Des performances en hausse

Côté performances, le X100F se démarque nettement par 2 évolutions de taille : l’auto-focus et le temps de mise en route.

L’AF est significativement plus rapide que les versions précédentes. Le déclencheur à peine effleuré, l’AF se met en route et accroche rapidement son sujet. Il peine encore parfois à accrocher en condition de faible luminosité, mais c’est vraiment pour chipoter. Le Fujifilm X100F est un appareil qui n’est clairement pas destiné à être utilisé pour le sport, ou autres pratiques qui nécessitent des performances AF accrues mais la réactivité est là, pour de la photo de rue par exemple.

Le temps de mise en route de l’appareil est estimé par le constructeur à moins d’1 seconde (0,5s), soit une énorme progression au regard du premier X100, dont la disponibilité à la mise en route avait fait couler beaucoup d’encre. Ici le X100F est immédiatement disponible et c’est un vrai confort.

La prise de vue en rafale est efficace et permet jusqu’à 8 images/secondes. En prise de vue unique, la disponibilité et la rapidité du boitier pour prendre les clichés sont surprenantes. Venant du système reflex, je ne suis pas déstabilisé et l’appareil déclenche à chaque appui répété sur le déclencheur.

Enfin un dernier point, et pas des moindres, l’autonomie. On m’avait prévenu que chez Fuji, le gain d’encombrement et de poids se perdait avec le nombre de batteries à avoir sur soi pour pouvoir passer une journée tranquille. Lors d’un week-end à Londres, je me suis donc équipé d’une seconde batterie, ainsi qu’une power-bank et d’un chargeur de batterie USB. Car si le X100F peut se charger en le branchant directement par USB, je voulais pouvoir continuer à l’utiliser, pendant qu’une autre batterie se recharge dans mon sac.

Phototrend-test-fujifilm-X100F-25

Et bien après 3 jours de déambulation photographiques dans la capitale Britanique et près de 300 photos, la batterie a perdu 40/45% de sa capacité et je n’ai pas eu besoin de changer ni de recharger de batterie ! Cela vient sûrement de la nouvelle batterie Fujifilm NP-W126S, qui a une meilleure gestion électronique de l’énergie.

À qui s’adresse le Fujifilm X100F ?

Plus compact qu’un reflex, le Fuji X100F se laisse emporter à chaque sortie. Avec son look rétro, toujours aussi efficace, on le confond très souvent avec un appareil argentique et permet d’être discret lors de la prise de vue.

Fujifilm semble avoir prêté attention à certains des utilisateurs des autres millésimes, et a raffermi la sensibilité des molettes et couronnes de réglages pour éviter les dérèglements dans le sac. Également, le contacteur ON/OFF semble un peu plus ferme que le X100T que j’avais essayé et qui s’allumait au moindre effleurement.

L’ergonomie est également revue pour une disposition plus simple des commandes sur le boitier. L’autonomie quant à elle n’a rien à voir et assure au photographe un nombre important de déclenchements avant de se préoccuper de l’énergie, tant qu’on ne passe pas son temps à cadrer avec l’écran et céder à « chimper ».

MP #193 : le chimping, ou faut-il regarder l’écran de son appareil après un cliché ?

Le Fuji X100F s’adresse à la fois à un public de photographes très large, car sa focale de 35mm est très polyvalente et les performances globales du boitier sont très bonnes, et à la fois à des photographes qui souhaitent retrouver un air d’argentique dans l’utilisation d’un appareil photo numérique, tout comme un Nikon Df.

Enfin, le prix sera aussi déterminant, car à 1400€, il n’est pas le compact le moins cher du marché, loin de là.

Le Fuji X100F est un appareil remarquable par sa qualité de fabrication et par la qualité des images qu’il en sort. Reste son prix : disponible à 1399€, le Fuji X100F est plus cher de 200€ que son aîné lors de sa sortie. Une augmentation significative pour cet appareil que l’on ne peut toujours pas qualifier de « tout terrain » étant donné l’absence de tropicalisation.

Il s’adresse à une poignée de photographes à la recherche d’un boitier à la fois sophistiqué tout en étant très simple et au look vintage qui saura rendre son propriétaire discret, en photo de rue par exemple.

Le Fuji X100F est très demandé et il est encore difficile de s’en procurer un, selon la couleur souhaitée et selon le distributeur.

Test terrain du Fujifilm X100F
Points forts
Qualité d’image
Boitier compact
Viseur hybride
Auto-Focus réactif
Look rétro
Nombreux réglages
Personnalisation avancée
Points faibles
Prix
Pas de tropicalisation
Le viseur ne semble pas très étanche aux poussières
Groupe optique vieillissant
8
sur 10
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Rédacteur

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  1. Salut Léo.
    On avait discuté d’un compact expert et parlé de modèles moins onéreux à l’époque mais j’ai moi aussi craqué sur le x100f. Finition silver pour ma part. Il m’accompagne tous les jours dans mon sac à dos, le PeakDesign Everyday Backpack. Très bons articles sur ces deux produits. 😉

    Je me suis récemment pris aussi un Laowa 12mm f/2.8 Zero-D. Une petite merveille. Comme ces deux acquisitions sont récentes, j’en suis encore à la prise en main mais je suis déjà conquis.

    A l’occasion de lire un autre de tes tests et/ou de se boire un petit verre avec les beaux jours.

    Thibaud

    1. Bonsoir Bernard,

      Tout dépend combien vous avez d’objectifs à mettre avec le X-T2 🙂 un Ona Bag The Bowery suffit pour un X100F et quelques accessoires ainsi que les compléments d’optiques. Donc si vous avez peu d’objectifs avec le X-T2, ça devrait le faire 🙂 Sinon, n’hésitez pas à faire un tour du côté de nos tests pour vous faire un avis !
      À bientôt
      Léo

  2. J’étais vraiment fou de mon x100s à l’époque que j’avais revendu (à regrets) pour financer autre chose mais quand je vois qu’à présent la gamme a récupérée la molette ISO du X-Pro 2 … Argh… Pour ne jamais travailler au flash et changer 2000x par jour d’ISO, j’ai vraiment détesté ce principe peu intuitif. Autant toutes les molettes sont facilement gérable en gardant l’oeil dans le viseur mais au bout d’un an avec un X-Pro 2 j’avais encore des ratés avec et je ne m’y suis jamais fait.

    Evan.

  3. Très bel appareil que nous avons pu tester à l’atelier pour réaliser quelques impressions sur toile de notre belle région. compact et excellent piqué. Le capteur est vraiment pas mal