Test Fujifilm X half : le plus argentique des compacts numériques

6.5
sur 10

Lancé en mai 2025, le Fujifilm X half est un appareil photo compact aux allures de boîtier argentique. Adoptant un gabarit de poche, il est doté d’un capteur 1 pouce. Mais surtout, il capture des photos à la verticale, qu’il est possible d’assembler via un petit levier.

Sur le papier, le X half a tout du plaisir coupable. Un boîtier compact à emmener partout et qui permet de retrouver l‘essence même de la photographie, avec notamment un mode argentique simulant une pellicule photo.

Mais ce mariage entre argentique et numérique fait-il du X half un appareil réussi ? La réponse dans notre test complet du Fujifilm X Half.

Test Fujifilm X Half : la photo argentique 100% numérique ?

Fujifilm X half : pour l’amour du risque

Fujifilm est sur un millésime 2024-2025 déjà bien rempli. En moins d’un an, l’entreprise nippone a déjà annoncé 4 boîtiers (X-M5, GFX 100RF, X-E5) – dont ce compact X half, le plus atypique d’entre eux.

Le X half avait fait l’objet de nombreuses rumeurs : certains imaginaient un boîtier demi-format APS-C, voire un boîtier purement argentique, à l’image du Pentax 17. Finalement, ce boîtier est un peu tout ça en même temps.

Il se démarque d’abord par son gabarit de poche et son look « vintage », bien aidé par un viseur tunnel et un levier d’armement de film. Il surprend également par son petit capteur 1 pouce de 18 Mpx, installé à la verticale. Le tout associé à une optique équivalent 32 mm f/2,8 rappelant les boîtiers argentiques « jetables« .

Fujifilm n’en est pas à son coup d’essai lorsqu’il s’agit de marier numérique et nostalgie. Entre ses simulations de films, ses boîtiers au look néo-rétro et ses Instax numériques, la marque japonaise sait faire vibrer la corde sensible. Le X half pousse cette logique encore plus loin. Vraiment plus loin.

Bien entendu, ce boîtier ne s’adresse pas aux amateurs de photo de sport ou animalière, ou encore aux photoreporters. En revanche, les fans d’objet néo-rétro, les personnes à la recherche d’une photographie plus posée, plus réfléchie, voire plus dépouillée et créative pourraient se laisser tenter. Le format vertical, similaire à celui des smartphones, fait aussi penser le X half comme un pont entre l’instax – qui touche un public plus jeune – et les appareils Fujifilm de la série X.

Voici la liste des caractéristiques techniques du Fujifilm X half :

  • capteur : 1″ (13,3 x 8,8 mm) CMOS 17,7 Mpx
  • filtre passe-bas : N.C.
  • processeur : N.C.
  • objectif : 10,8 mm f/2,8 (eq. 32 mm)
  • formule optique : 6 éléments en 5 groupes (dont 3 verres asphériques)
  • stabilisation : N.A.
  • distance minimale de mise au point : 10 cm
  • viseur : tunnel, grossissement 0,38x
  • écran LCD : TFT, tactile, 2,4″, 920 000 pts
  • autofocus : détection de contrastes
  • nombre de points AF : 9
  • couverture AF : N.C.
  • détection et suivi automatiques : visages et yeux des humains
  • plage AF : N.C.
  • sensibilité photo / vidéo : 200 – 12 800 ISO
  • rafale : N.A.
  • obturation : 1/4s – 1/2000 s (centrale)
  • vidéo : FHD (1440 x 1080 p) 24 fps
  • profils colorimétriques vidéo : N.C.
  • stockage : 1 x SD UHS-I
  • connectivité sans fil : Wi-Fi 5 / Bluetooth 5.2
  • batterie : NP-W126S, 1260 mAh
  • autonomie : 880 images / 85 min
  • rechargement par USB : oui, USB-C
  • tropicalisation : N.C.
  • dimensions : 105,8 x 64,3 x 45,8 mm
  • poids : 240 g (avec batterie et carte mémoire)
  • prix au lancement : 799 €

Prise en main minimaliste

Dès la prise en main, l’appareil surprend. Petit – 10,5 cm de large, pour 6,4 de haut et surtout 4,5 cm de profondeur –et léger (240 g sur la balance), il arbore une construction en plastique. Les finitions sont supérieure à celles d’un Instax Mini Evo, sans atteindre l’élégance d’un X100VI.

On pourra aisément mettre le X half dans une poche de veste, ce qui le rend immédiatement très attrayant. La simple idée de pouvoir l’emmener partout sans contrainte est d’ailleurs l’un de ses atouts !

Disponible en noir, anthracite ou argent, le X half joue la carte du style minimaliste. Les commandes sont réduites à l’essentiel : un déclencheur, une molette de compensation d’exposition, un commutateur photo/vidéo et un bouton lecture.

Fujifilm équipe également l’objectif 32 mm (équivalent 24×36) d’une petite bague de réglage du diaphragme (f/2,8 à f/11, avec une position auto).

Enfin, le boîtier intègre un discret flash LED, parfait pour insuffler à vos clichés une esthétique résolument nineties. Ce petit éclairage peut également faire office de lampe d’appoint pour la vidéo, mais sa luminosité maximale restera anecdotique.

Le petit levier d’armement ajoute indéniablement à la sensation de nostalgie et s’avère assez amusant à utiliser. Cependant, pour plus de précisions, on aurait apprécié que sa course soit crantée. Cela aurait permis d’être sûr de son enclenchement.

Au dos, petit incongruité : deux écrans. Le plus « grand » fait de 2,4 pouces, pour une définition de 920K pts (450×680 px). On découvre aussi un petit écran tactile secondaire en forme de pilule.

Cet écran secondaire permet de naviguer dans les menus ou de choisir les simulations de films, et s’avère particulièrement fluide. Le moniteur principal offre aussi une navigation par mouvement. Un coup vers le bas et c’est le menu de couplage avec un smartphone qui apparait (ainsi que le mode photo argentique). Vers la gauche, on trouve la fenêtre pour alterner entre filtre et simulations de films. Vers la droite, c’est le menu général qui s’affiche. Et, vers le haut, on retrouve le menu d’accès rapide.

Ce système est bien pensé, mais pas toujours très réactif, surtout si vous avez des doigts plus grands que la moyenne. De plus, ces écrans sont assez peu lisibles, principalement en extérieur. Il est possible d’augmenter la luminosité, mais les résultats ne sont guère probants et contribuent surtout à faire apparaître l’image comme surexposée.

Outre l’écran, la visée passe également par le viseur tunnel (ou « galiléen inversé »). Assez clair, il offre cependant un assez faible grossissement (0,38x) et n’applique pas de correction de la parallaxe. Dès que l’on s’en sert pour viser, il faudra donc bien penser à incliner légèrement son boîtier sur la gauche pour que le capteur reste dans l’axe voulu.

La vue à travers le viseur n’est pas particulièrement large

Une expérience photo volontairement ralentie

L’originalité du X half ne s’arrête pas à son design. Car, en dépit de son capteur numérique, il propose un mode « argentique » qui plaira aux adeptes de la slow photography.

Dans ce mode, on choisit le nombre de poses (36, 54 ou 72 images) et la simulation de film. Ensuite, plus question de prévisualiser ses clichés ni de les consulter immédiatement. Après chaque photo, il faut actionner manuellement le petit levier, simulant l’avancement du film, jusqu’à la fin de la « péloche ».

Une fois la pellicule numérique “terminée”, il faut passer par l’application mobile pour “développer” ses images. Une planche contact s’anime alors à l’écran, mimant l’étape de développement du film en laboratoire, avec le négatif, puis le positif. Une fois cette étape terminée, il est possible de visualiser ses images une à une sur son smartphone. A noter que les photos capturées dans ce monde ne pourront pas être visualisées sur l’appareil, sauf à lire la carte SD sur un ordinateur.

Ce mode argentique, aussi inutile qu’indispensable, fait le charme ultime du X half, et permet aux nostalgiques de la photo argentique de retrouver une pratique analogique, sans devoir passer par l’achat et le développement de pellicules.

D’ailleurs, même après avoir éteint l’appareil, le mode pellicule – et les vues non exposées restantes – reste activé. Il est toutefois possible de sortir de ce mode et d’interrompre la pellicule (en double cliquant sur l’écran de droite, ou en enlevant la batterie), mais on ne pourra pas la reprendre ensuite.

X half Film Camera Mode / FUJIFILM

Comme mentionné plus haut, l’appareil permet également la capture de photos au format vertical – tout en tenant l’appareil à l’horizontale. Un aspect déjà exploré par les appareils argentiques demi-format, et plus récemment du Pentax 17.

De plus, on peut aussi réaliser des diptyques et assembler ses clichés deux par deux. D’un coup de levier, ce mode 2-en-1 est activé et l’appareil fusionne automatiquement les images prises à la suite pour créer une composition. Le processus prend 2 à 3 secondes.

Performances et qualité d’image du Fujifilm X half

Côté technique, le Fujifilm X half est doté d’un capteur CMOS 1 pouce de 17,7 Mpx (3648 x 4864 px) au ratio 3:4, orienté à la verticale. Le boîtier ne permet de shooter qu’en JPEG, pas de RAW possible. Chaque image pèse environ 5 Mo.

Les diptyques créés dans le boîtier affichent une définition de 4864 x 7296 px, pesant 10 à 11 Mpx. Sur chaque photo, on peut d’ailleurs choisir à la prise de vue d’apposer la date en bas à droite.

N’hésitez pas à cliquer sur chaque photo présente dans ce test pour les voir en meilleure qualité.

On ne peut juger la qualité des images de la même façon qu’avec un boîtier « classique ». Outre le capteur de petite taille et faiblement défini, le X half ne bénéficie pas des algorithmes intégrés aux smartphones équipés de capteurs analogues (ou moins grands). De plus, il ne peut compter que sur une optique peu ambitieuse… et peu lumineuse.

Ici, il faut plus se concentrer sur le charme et l’aspect vintage des clichés que sur un éventuel piqué ou une reproduction très fidèles des couleurs, même si on apprécie toujours autant les simulations de film Fujifilm.

Ceci étant dit, il est tout à fait possible d’obtenir des images très qualitatives et avec une patte, un cachet unique. Évidemment, l’affichage sera toujours plus flatteur sur un écran de smartphone, ou tiré sur du film instax mini. De même, le potentiel de recadrage est assez limité.

Là où le X half s’en sort avec les honneurs, c’est sur le terrain de la créativité. On retrouve 13 simulations de films (PROVIA/Standard, Velvia/Vivid, ASTIA/Soft, Classic Chrome, Reala Ace, Classic Neg, ETERNA/Cinema, Acros (avec filtre jaune, rouge ou vert), Sepia). Certes, leur nombre est moins élevé que sur les X-T ou X100, mais elles sont toujours aussi savoureuses.

Des filtres créatifs (miroir, fish-eye, miniature…) viennent compléter le tableau. Le tout pousse à expérimenter, à tenter, à oser. Et c’est bien là tout le propos.

En optant pour des simulations, comme Classic Chrome, Classic Neg., Eterna ou les divers noirs et blancs Acros, on peut réaliser des clichés assez flatteurs ! De même, la distance minimale de mise au point à 10 cm permet de bien se rapprocher du sujet.

Fujifilm X half – 32 mm – 1/300 s – ƒ / 2,8 – ISO 200

Le petit flash LED, associé à un mode de grain (de préférence pas trop marqué) et à l’optique 32 mm, permettent de vraiment retrouver le look des photos (très) amateurs des années 80 / 90.

La plage ISO s’étend de 200 à 12 800, mais on évitera de dépasser les 800 ISO sous peine de voir le bruit numérique ruiner les clichés. Très clairement, le X half n’est pas pensé pour la photo de nuit. Même en intérieur avec le flash, ne vous attendez pas à des miracles.

Surtout, par basse luminosité, si vous aviez choisi d’activer une mode de « grain » (weak ou strong), la photo prend une tournure très… conceptuelle. On ne sait alors plus où commence le bruit numérique et où commence le grain artificiel. Cette option de grain est à réserver aux météo ensoleillées.

Fujifilm X half – 32 mm – 1/70 s – ƒ / 2,8 – ISO 12 800 – Hauts ISO et grain articifiel ne font pas forcément bon ménage.

De façon générale, le X half est un appareil – plus que les autres – qui a besoin d’une excellente lumière pour donner le meilleur de lui-même. Attention tout de même à la surexposition aussi, car les clichés peuvent vite être cramés.

Fujifilm X half – 32 mm – 1/2000 s – ƒ / 2,8 – ISO 200

Un autofocus présent, mais tâtonnant

Contrairement aux appareils jetables (ou encore au Pentax 17), Fujifilm a bien équipé son boîtier d’un système de mise au point automatique. Il est ainsi doté d’une fonction de détection des yeux et des visages (des humains uniquement). L’AF est globalement fiable, mais l’ensemble peut parfois souffrir d’un net manque de réactivité.

Lors de notre test, nous avons noté une petite latence au déclenchement, pouvant parfois conduire à des photos manquées. Le phénomène est évidemment accentué en basse lumière. Notez qu’il est possible de déplacer le point sur l’un des neuf collimateurs disponibles. Mais cela n’a qu’un impact négligeable sur la précision globale de la mise au point.

Fujifilm X half – 32 mm – 1/125 s – ƒ / 2,8 – ISO 320 – Un déclenchement hésitant et un cliché presque raté

En revanche, en mise au point manuelle, le déclenchement est immédiat — un point positif à souligner. Dans ce mode cependant, à cause de l’affichage de piètre qualité, la précision de la MAP est à relativiser, malgré l’échelle des distances. L’activition du focus peaking sera donc capital pour bien assurer de sa mise au point.

Fujifilm X half – 32 mm – 1/125 s – ƒ / 2,8 – ISO 320

De plus, en utilisant la visée tunnel, il est impossible de savoir si la photo sera nette ou pas. Et ce, en mode classique, comme en photo argentique. La glorieuse incertitude du sport…

Absence de stabilisation ou encore de rafale

Sans surprise, le X half n’embarque aucun mode de stabilisation (optique ou capteur). Si d’aventure vous souhaitiez faire de la pose longue à main levée, il s’agira d’une mission presque impossible en dessous de 1/10 s – et encore.

Fujifilm X half – 32 mm – 1 s – ƒ / 2,8 – ISO 200

De même, il n’y a pas de capture possible en rafale, le X half étant pensé pour une utilisation bien plus calme. Il ne conviendra pas aux photographes animaliers, mais cela ne surprendra personne.

Fujifilm X half – 32 mm – 2.0 s – ƒ / 8,0 – ISO 640 – Une pose longue, ici avec le boîtier sur le sol.

Voici une sélection de photos réalisées avec le Fujifilm X half :

Vidéo

Le X half est doté d’un mode vidéo –mais ses capacités sont assez limitées. Il permet d’enregistrer dans un format peu conventionnel de 1440 x 1080 pixels à 24 images par seconde.

Le rendu manque de fluidité, l’autofocus hésite fréquemment, quand il ne pompe pas complètement. La durée d’enregistrement est limitée à 55 secondes consécutives. Notez qu’il dispose d’un mode ralenti à 48 fps. Cela donne des séquences assez particulières, mais qui ont le mérite d’apporter un peu de stabilité à l’ensemble.

Vidéo du Fujifilm X half

En toute honnêteté, il s’agit davantage d’un mode ludique que réellement fonctionnel. Seuls les fans de vidéos expérimentales destinées aux réseaux sociaux en tireront profit.

Cela dit, pour les plus curieux, il est tout de même possible de fusionner deux clips, à l’instar du mode photo. La fonction n’est toutefois disponible que depuis le boîtier et « paralyse » l’appareil pendant un temps équivalent à celui de l’enregistrement.

Autonomie, stockage et connectivité

Le boîtier dispose d’un emplacement pour cartes SD (norme UHS-I), à insérer sous l’appareil au niveau de la batterie. Le X half utilise une batterie NP-W126S (1260 mAh), qui équipe déjà les appareils les plus compacts du constructeur (X100VI, X-M5, etc.)

Fujifilm annonce une autonomie de 880 images. Puisque le boîtier est assez peu gourmand en énergie, il est possible d’aller bien au-delà de cette valeur.

Un port USB-C est disponible pour la recharge et le transfert des données… et, pis c’est tout. Il s’agit de l’unique connectique du X half. Pour ceux qui souhaiteraient écouter le retour son des vidéos, Fuji inclut toutefois un adaptateur casque – USB-C dans la boite. Sans grade surprise, impossible de brancher un micro.

Par contre, l’appareil est bien doté du Wi-Fi et du Bluetooth. Car il est totalement pensé pour une utilisation avec l’application X half (iOS et Android). Son interface est simple. Presque basique, pourrait-on dire. L’apparaige se fait presque instantanément et le transfert des images est assez rapide, ces dernières étant plutôt légères.

Depuis l’application, on peut visionner les photos ou les vidéos capturées avec l’appareil. C’est là que l’on peut aussi retrouver les planches contact terminées, comme les pellicules non achevées. On peut aussi décider de fusionner manuellement deux images, sans avoir à passer par le boîtier.

Cela permet de s’affranchir du mécanisme du levier et laisse une plus grande place à la créativité, même si on perd un peu du charme du fonctionnement initial.

Le Fujifilm X half aux côtés de l’instax wide link.

On peut également appliquer un cadre à nos photos. Nous avions une petite préférence pour le cadre instax, rappelant les films du même nom. Bien évidemment, on dispose de multiples outils de recadrage et il est possible de synchroniser nos images avec une application d’impression type instax mini link pour tirer sur papier les clichés.

Fujifilm X half : une pépite pour les curieux, un gadget onéreux pour les autres

Le Fujifilm X half n’est pas un appareil pour tout le monde. Il ne brille ni par ses performances ni par sa qualité d’image. Son autofocus est capricieux, sa latence au déclenchement agace parfois, son écran manque de réactivité, et son capteur montre vite ses limites. Et pourtant, il a ce quelque chose de profondément attachant.

Il s’adresse aux amateurs d’une photographie plus posée, plus réfléchie. À ceux qui aiment composer leurs images comme on écrit une lettre à la main. À ceux qui recherchent (ou regrettent) le charme de la pellicule, mais ne veulent pas en subir les contraintes.

Son plus gros défaut ? Son prix. Affiché à 800 €, le X half fait payer cher sa singularité. À titre de comparaison, un Sony ZV-1F (plus polyvalent, mais moins “poétique”) s’affiche aux alentours des 550 €, tandis qu’un Fujifilm X-M5 ouvre la porte au monde des hybrides pour un tarif peu éloigné du X half. Le choix est vite fait… sauf si l’on cherche plus qu’un simple outil.

Le X half est un appareil de niche qui nécessite de lâcher un peu prise. Et de se laisser porter sans trop faire attention aux détails. En somme, il s’agit du plus argentique des compacts numériques. Et c’est peut-être pour ça qu’il est si attrayant.

Le Fujifilm X half est disponible au tarif de 799 €. Trois coloris sont proposés : noirargent et anthracite.

L’appareil est disponible chez Digit-PhotoPanajouMiss NumériquePhoto-UniversIPLN, la Fnac et dans les boutiques spécialisées.

Test Fujifilm X half : le plus argentique des compacts numériques
Fabrication / finitions
7.9
Ergonomie
8.5
Qualité d'image
6
Montée en ISO
5
Efficacité de l'autofocus
6
Fonctionnalités
9
Autonomie
9.1
Vidéo
5
Rapport qualité-prix
7
Points forts
Expérience photo unique et immersive
Application mobile bien pensée
Design compact et original
Simulations de films réussies
La nostalgie a son charme
Points faibles
Qualité d’image limitée
Écran peu lisible
Interface perfectible (notamment pour les grandes mains)
Autofocus lent, latence au déclenchement
Tarif trop élevé
6.5
sur 10