Nikon Z 5, l’hybride plein format compact et abordable chez Nikon

Mise à jour mars 2021 : Nikon vient d’annoncer une baisse de prix permanente de 100 € sur le Nikon Z 5, qui est ainsi disponible à partir de 1499 €.

Aujourd’hui, Nikon annonce son dernier boîtier hybride plein format, le Nikon Z 5 (ou Nikon Z5). Il vient compléter la gamme d’hybrides plein format en monture Z lancée en 2018, et vient se placer en petit frère du Nikon Z 6, dont il reprend nombre de fonctionnalités et de caractéristiques.

Avec ce boîtier, Nikon annonce également le Nikkor Z 24-50 mm f/4-6,3, un zoom pancake FX léger qui viendra accompagner le Z 5 dans un kit de base. De quoi offrir une solution plein format hybride compacte et abordable ? Le constructeur a également dévoilé 2 téléconvertisseurs 1,4x et 2x en monture Z. Retour sur ces nouveautés.

Introducing the Nikon Z 5 & NIKKOR Z 24-50mm f/4-6.3 mirrorless lens

Nikon Z 5 : dans la droite lignée ergonomique du Z 6

Après avoir dévoilé le Nikon Z 50, un hybride APS-C, le constructeur présente le Z 5, que l’on pourrait qualifier d’équivalent plein format du Z 50. Nikon souhaite faire un pont entre l’APS-C et le plein format, avec un boîtier comme tremplin vers le plein format en monture Z, sa qualité d’image, sa faible profondeur de champ et son rendu.

D’apparence, le Nikon Z 5 est identique ou presque aux Z 6 et Z 7, à une seule différence. Celui-ci perd l’écran de contrôle situé sur la partie supérieure du boîtier et la roue PASM passe de la gauche à la droite du boîtier. En bref, on pourra dire que le Nikon Z 5 est un Z 50 plein format, à la différence qu’il dispose bien de tous les boutons des Z 6 et Z 7, notamment le joystick, bouton AF-ON, commutateur photo/vidéo à l’arrière, croix directionnelle à l’arrière, etc.

On ne change pas une équipe qui gagne, la prise en main du boîtier est strictement identique aux précédents hybrides plein format Nikon, avec toujours un grip bien prononcé et texturé. On notera cependant que le boîtier est légèrement plus haut que le Z 6 : 134 x 100,5 x 69,5 mm contre 134 x 100,5 mm x 67,5 mm. Sur la balance, rebelote, l’appareil est plus lourd de 5 g avec 680 g au total.

Voici un tableau comparatif entre le Nikon Z 5 et le Z 6 :

Nikon Z 5Nikon Z 6
Capteur CMOSplein format 24,3 Mpxplein format BSI, 24,5 Mpx
Filtre passe-basN.C.Oui
ProcesseurExpeed 6Expeed 6
MontureZZ
Stabilisation capteur5 axes5 axes
Viseur électronique3,6 Mpx3,6 Mpx
Écran LCD3,2 pouces, 1,04 Mpx3,2 pouces, 2,1 Mpx
AutofocusAF hybrideAF hybride
Nombre de points AF273 points (détection de phase et de contraste)273 points (détection de phase et de contraste)
Couverture AF90 %90 %
Plage de fonctionnement AFDe -3 à 17 EVDe -3,5 à 19 EV
Sensibilité du capteur100-51200 ISO100-51200 ISO
Rafale (obturateur mécanique)4,5 i/s12 i/s
Rafale (obturateur électronique)4,5 i/s11 i/s
Obturation30s - 1/8000s30s - 1/8000s
Vidéo4K à 30 i/s, FHD à 60 i/s4K à 30 i/s, FHD à 120 i/s
Stockage2 x SD UHS-II1 x XQD
WifiOuiOui
BluetoothOuiOui
BatterieEL15CEL15B
Autonomie photo350 photos310 photos
Autonomie vidéoN.C1h 25min
Rechargement par port USBOuiOui
TropicalisationOuiOui
Dimensions134 x 100,5 x 69,5 mm134 x 100,5 mm x 67,5 mm
Poids680 g675 g
Prix de lancement1899 € (avec objectif 24-50 mm)2299 € (nu)

Côté visée, le Z 5 reprend stricto sensu les caractéristiques du Z 6 – très appréciées durant notre test. Ainsi, l’écran orientable tactile de 3,2 pouces du Z 6 est repris mais avec une résolution moindre (1,04 millions de points contre 2,1 pour le Z 6), tout comme l’excellent viseur électronique Quad VGA OLED de 3,69 millions de points utilisant un jeu de lentilles Nikon pour offrir un grossissement de 0,8x très confortable et un dégagement oculaire de 21mm.

Le boîtier est constitué d’alliage de magnésium et dispose d’une construction tout temps grâce de nombreux joints d’étanchéité. Cela devrait lui offrir une bonne résistance, même si certaines parties, notamment le dessus et le dessous de l’appareil, ne semblent pas être en magnésium mais plutôt en plastique. L’appareil ne dispose pas de flash intégré.

Joints d’étanchéité du Nikon Z 5

Capteur CMOS plein format 24,3 Mpx stabilisé 5 axes et rafale 4,5 i/s

Le Nikon Z 5 est équipé d’un capteur CMOS plein format de 24,3 millions de pixels. On pourrait penser qu’il s’agit du même que le Z 6, mais le capteur du Z 5 n’est pas rétroéclairé. On ignore si le boîtier dispose d’un filtre passe-bas, mais cela devrait être le cas.

Côté rafale, le Z 5 plafonne à 4,5 i/s, là où le Z 6 monte à 12 i/s avec suivi AE/AF. Pourtant, les deux boîtiers partagent le processeur Expeed 6. Cette différence s’explique par la technologie de capteur BSI du Z 6 qui offre plus de vitesse. Pour Nikon, ce n’est pas un problème, et le constructeur parle même de retour à la « slow photography », où la rafale a moins d’importance que le rendu de l’image.

On retrouve un obturateur mécanique et électronique, capable d’aller jusqu’à 1/8000s, ainsi qu’un obturateur électronique au premier rideau, ce qui permet de réduire les vibrations du boîtier. Lors de notre prise en main, nous retrouvons le bruit de déclenchement très plastique de l’obturateur, comme pour le Z 50. Espérons que celui-ci est endurant.

Côté plage de sensibilité, le Z 5 reprend la même plage que le Z 6, qui va de 100-51 200 ISO, extensible à 102 400 ISO.

Capteur stabilisé

Nikon a jugé important d’intégrer la stabilisation capteur 5 axes à cet hybride, ce qui permet un gain jusqu’à 5 stops. Comme pour les Z 6 et Z 7, cette stabilisation ne s’obtient qu’avec les optiques natives en monture Z. Avec l’adaptateur FTZ, il est possible d’ajouter la stabilisation à des optiques monture F non VR, mais seulement sur 3 axes.

Autofocus : identique au Z 6, mais moins sensible

Pour effectuer le suivi des sujets et la mise au point, le Z 5 s’appuie sur la même technologie que le Z 6 : autofocus hybride, combinant corrélation de phase et détection de contraste avec 273 points AF qui couvrent environ 90% de la zone d’image (100% de l’image en crop DX, au prix d’un recadrage 1,5 x).

Cet appareil reprend également la fonctionnalité d’AF détection et suivi des yeux humains / animaux (chiens et chats) introduite sur les Z 6 et Z 7 avec une mise à jour récente.

Par contre, la plage de fonctionnement AF du Z 5 est plus réduite que celle du Z 6 : elle couvre de -2 à 19 EV là où le Z 6 va de -3,5 à 19 EV, sans activer le mode AF faible lumière qui permet d’atteindre -6 IL au prix d’un AF moins véloce. Avec l’AF faible lumière, le Z 5 permet de descendre seulement à -3,5 IL.

Vidéo 4K 30p mais avec recadrage 1,7x

Le Nikon Z 5 est avant tout orienté photo. En vidéo, le Z 5 montre ses limites face aux Z 6 et Z 7. Ainsi, le boîtier supporte la 4K UHD en 24, 25 et 30 fps mais au prix d’un recadrage 1,7x, là où les Z 6 et Z 7 utilisent la totalité du capteur. En Full HD, le boîtier se limite à 60p et ne propose pas le mode ralenti 120 fps.

L’appareil dispose d’un mode timelapse intégré au boîtier et il est possible de capturer des images fixes en filmant. En vidéo, une stabilisation électronique vient s’ajouter à la stabilisation optique sur 5 axes pour des plans plus stables.

Double slot SD UHS-II, connectivité et autonomie

Après avoir introduit le XQD et CF Express sur les Z 6 et Z 7, Nikon semble faire machine arrière ici en proposant un double slot SD compatible SDXC/SDHC UHS-II au lieu d’un simple slot CF Express. C’est finalement tout à fait logique avec la cible de clients recherchés, qui souhaite découvrir le plein format Nikon en hybride. Quand on sait qu’une carte XQD 64 Go se trouve à plus de 150 €, la carte SD, même UHS-II, est bien moins onéreuse. Le boîtier offre ainsi les options habituellement d’enregistrement mixte sur les deux cartes de manière simultanée, JPEG et RAW ou bien par débordement, au choix.

Double slot SD

Le Z 5 intègre, comme attendu, la technologie Bluetooth Low Energy 4.2 ainsi que le Wifi. Le boîtier est ainsi compatible avec SnapBridge, qui permet la prise de contrôle à distance du boîtier ainsi que le transfert des images, même en RAW. L’appareil est ainsi compatible avec Wireless Transmitter Utility de Nikon sur ordinateur pour l’envoi de photos par Wifi.

Côté autonomie, on ne s’attendait pas à grand-chose de nouveau, et pourtant, Nikon propose avec le Z 5 une nouvelle batterie EN-EL15C. Oui, encore une nouvelle batterie, alors que les Z 6 et Z 7 avaient introduit l’EN-EL15B, une mise à jour de la batterie utilisée sur les reflex plein format Nikon. Ici encore, la rétrocompatibilité est assurée, ouf.

L’autonomie annoncée sur Z 5 avec l’EN-EL15C est de 350 vues avec le viseur (+15% par rapport au Z 6) et 450 vues à l’écran. Le boîtier dispose d’un mode économie d’énergie pour étendre son autonomie et il est possible de le recharger en USB. Nouveauté, le Z 5 pourra également être utilisé lorsque l’appareil est en charge, une bonne nouvelle pour les vidéastes et pour de longues sessions de shooting.

Niveau connectique, le Z 5 reprend la fiche du Z 6 avec une entrée mini micro et casque, une prise USB 3.0 Type C, un port micro-HDMI Type C ainsi qu’un connecteur pour télécommande filaire. Ces prises sont sécurisées par des trappes en caoutchouc.

On notera que le Z 5 est compatible avec le bloc alimentation MB-N10 dont nous avons plus d’informations lors du lancement du Z 50.

NIKKOR Z 24-50 mm f/4-6,3, un nouveau zoom transstandard pancake pensé pour le Z 5

Le Nikon Z 5 est annoncé avec un nouvel objectif de kit, qui semble lui être dédié. Il s’agit du NIKKOR Z 24-50 mm f/4-6,3, un zoom compact et polyvalent, qui nous fait beaucoup penser au NIKKOR Z DX 16-50mm f/3.5-6.3 VR lancé avec le Nikon Z 50.

Selon Nikon, il s’agit de « l’objectif le plus léger et le plus court parmi les zooms transtandard pour appareils photo hybrides plein format » à ce jour. Compact, l’objectif dispose d’un design rétractable avec 51 mm de long seulement. Une fois déplié, l’objectif est prêt à être utilisé mais reste compact. Pensé pour le Z 5 qui dispose d’un capteur stabilisé 5 axes, cet objectif ne dispose pas de stabilisation optique.

Cet objectif tire pleinement parti de la monture Z, dotée d’un large diamètre et d’un tirage plus faible que la monture F, qui permet un design plus compact. L’objectif bénéficie d’une construction en polycarbonate, y compris la baïonnette, pour un poids plume de 195 g.

Voici les caractéristiques techniques du NIKKOR Z 24-50 mm f/4-6,3 :

  • plage focale : 24-50 mm
  • ouverture maximum : f/4-6,3
  • ouverture minimale : f/22-36
  • construction optique : 11 éléments répartis en 10 groupes dont 2 lentille en verre ED et 3 lentilles asphériques
  • diaphragme : 7 lamelles circulaires
  • rapport de grossissement maximal : 0,17x
  • angle de champ : 84° à 47° (61° à 31° 30’ en DX)
  • distance de mise au point minimale : 35 cm à toutes les focales
  • diamètre du filtre : 52 mm
  • tropicalisation : non
  • autofocus : oui, moteur STM
  • poids : 195 g
  • pare-soleil : oui, amovible (non fourni)
  • stabilisation : non
  • dimensions : 73,5 mm x 51 mm (D x L) en position rétractée
  • monture compatible : Nikon Z

Comme on peut le voir, ses caractéristiques techniques sont celles d’un zoom de kit standard, avec une ouverture plus faible que les habituels f/3,5-5.6 rencontrés sur des optiques de kit. À 50 mm, l’ouverture maximale à f/6,3 pourrait poser quelques soucis en limitant fortement la qualité de lumière qui entre sur le capteur, comme ce fut le cas lors de notre test du Z 50 avec le NIKKOR Z DX 16-50mm f/3.5-6.3 VR.

L’objectif dispose de 3 lentilles asphériques et deux lentilles en verre ED qui permettent de réduire la distorsion et les aberrations chromatiques. Sa distance de mise au point minimale de 35 cm (sur toute la plage de zoom) permettra de réaliser de gros plans facilement.

Nikon a pensé ce zoom pour la photographie mais aussi pour la vidéo, grâce à une mise au point silencieuse et fluide (moteur STM pas-à-pas) ainsi qu’une réduction du focus-breathing.

Enfin, l’objectif dispose d’une bague de réglage personnalisable, qui permet de contrôler la mise au point manuelle, l’ouverture ou la correction d’exposition.

Cet objectif de seulement 195 g offre une solution ultra-compacte avec une qualité d’image qui devrait être appréciable, à condition de ne pas avoir peur des petites ouvertures. Chose étonnante, ce nouveau zoom en monture Z ne faisait pas partie de la roadmap Nikon présentée l’an dernier. Nikon explique qu’il s’agit vraiment d’une optique pensée pour le Z 5, qui n’a pas vocation à être vendu seule pour le moment.

Voici une série de photos réalisées avec le NIKKOR Z 24-50 mm f/4-6,3 (source Nikon) :

Téléconvertisseurs Z TC 1,4x et 2x

En parallèle de l’annonce du Z 5, Nikon a dévoilé la sortie de ses téléconvertisseurs pour la monture Z qui vont jusqu’à doubler la focale d’objectifs Z compatibles. Ainsi, le Z TC-1,4x multiplie la focale par 1,4 et le Z TC-2x par 2.

Ces téléconvertisseurs disposent d’une conception optique avancée (avec 1 lentille asphérique et des traitements au fluor) pour conserver une netteté, un piqué ainsi qu’une distance minimale de mise au point identique.

Les performances autofocus resteront également inchangées et ces téléconvertisseurs, construits en aluminium anodisé texturé, sont tropicalisés pour protéger le boîtier de la poussière et de l’humidité. Compter 220 g pour le Z TC-1,4x et 275 g pour le Z TC-2x.

Pour le moment, seul le NIKKOR Z 70-200 mm F/2,8 VR S est compatible avec les téléconvertisseurs Z de Nikon mais le constructeur devrait dévoiler prochainement de nouvelles optiques compatibles comme le 100-400 mm ou le 200-600 mm présentés dans la roadmap d’objectifs.

Nikon : nouvelle roadmap pour les optiques NIKKOR Z, poignée MB-N10 pour Z 6 / Z 7 et 8999€ pour le NIKKOR Z 58mm f/0.95 S Noct

NIKKOR Z 14-24 mm f/2,8 S : annonce en 2020

Après le NIKKOR Z 14-30 mm f/4, le constructeur a dévoilé en 2019 qu’un nouveau zoom ultra-grand angle lumineux de la série S-Line allait sortir. Il s’agit du NIKKOR Z 14-24 mm f/2,8 S mais nous n’avons pas encore d’informations à son sujet, si ce n’est qu’il devrait être annoncé dans le courant 2020 a indiqué Nikon.

Objectifs NIKKOR Z : le 14-24 mm f/2,8 S prévu pour 2020 et une nouvelle roadmap officielle

Prix et disponibilité du Nikon Z 5

Le Nikon Z 5 est disponible dès maintenant auprès des principaux revendeurs. Il est décliné en plusieurs kits :

  • Nikon Z 5 nu à 1499 €
  • Nikon Z 5 nu + FTZ à 1649 €
  • Nikon Z 5 + Nikkor Z 24-50 mm f/4-6,3 à 1749 €
  • Nikon Z 5 + Nikkor Z 24-50 mm f/4-6,3 + FTZ à 1899 €
  • Nikon Z 5 + Nikkor Z 24-200 mm f/4-6,3 VR à 2289 €

Les téléconvertisseurs Z TC-1.4x et Z TC-2x seront disponibles courant août 2020 aux prix respectifs de 629 € et 679 €.

Notre premier avis sur le Nikon Z 5 et le Nikkor Z 24-50 mm f/4-6,3

Le Nikon Z 5 est une variante plus grand public du Z 6, le boîtier à succès de Nikon. Avec des caractéristiques techniques intéressantes – capteur 24 Mpx stabilisé 5 axes, AF hybride 273 points, double carte SD UHS-II, vidéo 4K – le Z 5 est présenté comme le kit pour s’essayer à la photographie hybride plein format chez Nikon. Comparé au Z 6, bien qu’il reprenne le châssis et l’ergonomie, le Z 5 est moins performant avec notamment une plage de sensibilité AF restreinte, une rafale plus faible et un mode vidéo moins avancé.

Disponible en kit avec le Nikkor Z 24-50 mm f/4-6,3 à 1749 €, le Z 5 se frotte avant tout au Canon EOS RP, l’hybride plein format le plus abordable de Canon – le capteur stabilisé en moins – qui est disponible nu à 1299 € avec bague d’adaptation, 1509 € en kit avec le 24-105 mm f/4-7,1 IS STM et 1999 € en kit avec le 24-240 mm f/4-6,3 IS USM. Chez Sony, le concurrent est l’A7 II, un boîtier daté mais toujours en course et très abordable. Une version nu + FTZ du Nikon Z 5 aurait ainsi été intéressante pour tirer parti du parc optique Nikkor F et réduire le tarif d’entrée du plein format.

Mise à jour : Nikon semble nous avoir écouté avec un nouveau kit Nikon Z 5 nu + FTZ à 1649 €.

Enfin, Nikon communique sur la compacité du kit Z 5, mais à vrai dire, le boîtier est aussi gros que le Z 6 et seul le zoom pancake est véritablement compact. On comprend mieux pourquoi Nikon ne souhaite pas vendre le boîtier nu ou l’optique seule, pour casser la magie de ce kit savamment pensé.

© Flora Metayer