Canon EOS R5 Mark II : prise en main et premier test de l’hybride ultra-polyvalent

Mise à jour 3 octobre 2024 : retrouvez dès maintenant notre test complet du Canon EOS R5 Mark II .

En grande pompe, Canon a dévoilé ses deux nouveaux hybrides plein format : les Canon EOS R1 et EOS R5 Mark II. Résolument premium et polyvalent, ce dernier vise à marier haute définition et réactivité. Nous avons pu l’essayer quelques heures dans le cadre d’un événement organisé à Munich : voici notre premier retour d’expérience à propos du Canon EOS R5 Mark II.

Canon EOS R5 Mark II : sport ou mariage, pourquoi choisir ?

Le moins que l’on puisse dire, c’est que le chiffre « 5 » est évocateur chez Canon. Ainsi, le Canon EOS R5 Mark II s’inscrit dans la (glorieuse) lignée des EOS 5D, particulièrement appréciés par les professionnels – et les amateurs chevronnés – pour leur polyvalence et leur qualité d’image, tant en photo qu’en vidéo. Autant dire que la barre est haute pour ce nouvel hybride plein format de la barre rouge et noire.

Comparé à son prédécesseur, (lancé en 2020), l’EOS R5 Mark II change de paradigme. Certes, les deux boîtiers misent tous les deux sur un capteur très défini de 45 Mpx… mais la ressemblance s’arrête là. D’un côté, l’EOS R5 visait surtout la photo de portrait, de packshot et de studio (des sujets plutôt posés). De l’autre, l’EOS R5 Mark II mise toujours sur les hautes définitions… mais renoue avec la photo et la vidéo de sport et d’action.

Rafale à 30 i/s, stabilisation 8,5 stops, vidéo 8K 60p, puce Digic Accelerator dopée au Deep Learning… La fiche technique du Canon EOS R5 Mark II s’avère particulièrement fournie. À tel point qu’il lorgne (souvent) vers le Canon EOS R1, dévoilé au même moment – et vendu 1,5x plus cher !

Canon EOS R5 Mark II vs Canon EOS R1 : le choc des titans

Voici la liste complète des caractéristiques du Canon EOS R5 Mark II, comparées à celles de l’EOS R5 :

Canon EOS R5 IICanon EOS R5
Capteurplein format BSI CMOS stacked 45 MpxPlein format CMOS 45 Mpx
Filtre passe-basOuiOui
ProcesseurDigic X + Digic AcceleratorDigic X
MontureRFRF
Viseur électroniqueOLED 5,76 Mpts, grossissement 0,76x, 24 mm, 60 ou 120 ipsOLED 5,76 Mpts, grossissement 0,76x, 23 mm, 60 ou 120 ips
Écran LCDTactile, orientable, 3,2 pouces, 2,1 MptsTactile, orientable, 3,2 pouces, 2,1 Mpts
Écran de contrôle monochromeOuiOui
AutofocusDual Pixel Intelligent AFDual Pixel AF II
Nombre de points AF58505940
Couverture AF100% (auto), 100x90% (manuel)100% (auto), 100x90% (manuel)
Plage de fonctionnement AF-6,5 à 21 ILDe -6 à 18 IL
Algorithmes de suivi AFHumains (yeux, visages, corps), animaux (chiens, chats, oiseaux, chevaux), véhicules (autos, motos, avions, trains)Humains, animaux (chiens, chats, oiseaux)
Sensibilité du capteur100-51 200 ISO (extensible à 50-102 400 ISO)100-51 200 ISO (extensible à 50-204 800 ISO)
Mode haute définitionupscale 179 Mpxpixel shift 400 Mpx JPEG
Rafale (obturateur mécanique)12 i/s (avec suivi AE/AF)12 i/s (avec suivi AE/AF)
Rafale (obturateur électronique)30 i/s (avec suivi AE/AF)20 i/s (avec suivi AE/AF)
Obturation30-1/8000s30-1/8000s
Stabilisation du capteur8,5 stops8 stops
Vidéo8K 60 i/s, 4K 120 i/s, Full HD (sans crop)8K 30 i/s, 4K 120 i/s, Full HD (sans crop)
Profils colorimétriques vidéoC-LOG HDR, RAW (8K uniquement), S-RAWC-LOG HDR, RAW (8K uniquement)
Stockage1x SD UHS-II, 1x CF Express type B1x SD UHS-II, 1x CF Express type B
Wifi2,4, 5 et 6 Ghz2,4 et 5 GHz
BluetoothBluetooth 5.3 Low EnergyBluetooth 4.2 Low Energy
BatterieLP-E6PLP-E6NH
Autonomie (CIPA)630 photos (LCD),
340 photos (viseur)
490 photos (LCD), 320 photos (viseur)
GPS intégréOuiNon
Rechargement par port USBOuiOui
TropicalisationRésistant à la poussière et à l’humiditéRésistant à la poussière et à l’humidité
Dimensions (L x H x P)138,5 × 101,2 × 93,5 mm135,8 × 97,5 × 88 mm
Poids (avec carte et batterie)746 g738 g
Prix de lancement nu4499 €4499 €

Un boîtier compact aux lignes adoucies

En termes de design, l’EOS R5 Mark II emprunte moins à son prédécesseur qu’à l’EOS R6 Mark II, dévoilé fin 2022. On retrouve donc un boîtier aux angles très doux et à l’ergonomie savamment étudiée. Comme sur l’EOS R1, le viseur électronique est comme « absorbé » par le reste du boîtier.

À la lecture de sa fiche technique, nous nous étions attendus à boîtier assez volumineux. Étonnamment, l’EOS R5 Mark II s’avère « relativement » compact et léger. Comptez 13,8 cm de large, 10,1 cm de haut et 9,3 cm d’épaisseur (poignée comprise). Comparé à son prédécesseur, il s’avère 3 mm plus haut et 5 mm plus épais.

On apprécie beaucoup la poignée très creusée. Chaque doigt trouve sa place naturellement. La disposition des commandes s’avère très logique : les canonistes ne seront en rien déroutés. Seul le joystick déroge à cette règle. En effet, il est situé trop près du viseur, obligeant à une extension du pouce peu agréable.

Viseur électronique (très) confortable et contrôle de l’AF par l’œil

Au dos de l’EOS R5 Mark II, le viseur électronique paraît assez imposant. Et pour cause : il abrite le système de contrôle de l’autofocus par l’œil – au même titre que l’EOS R1. Une première sur un boîtier (moderne) de la série 5.

Introduit initialement sur l’EOS R3 en 2021, ce système a bénéficié de plusieurs améliorations notables. Ainsi, les capteurs infrarouge ont été améliorés, afin d’offrir une plus grande précision. Et force est de constater que les efforts de Canon ont porté leurs fruits.

Une fois le paramétrage effectué, l’appareil identifie parfaitement dans quelle direction l’on regarde. Il suffit donc d’appuyer sur la touche AF-On, et la mise au point s’effectue sans délai sur le sujet que l’on suit de l’œil. De quoi faciliter le travail des photographes au bord du terrain… même s’il peut, à la longue, être un peu fatigant pour les yeux.

Au-delà, le viseur a été drastiquement revu – ne serait-ce que pour accueillir le système Eye Control. Basé sur un écran OLED de 0,5 pouce, il offre 5,76 millions de points, avec un agrandissement de 0,76x, un dégagement oculaire de 24 mm et une fréquence maximale de rafraîchissement montant à 120 Hz.

Certes, il n’est (hélas) pas aussi spacieux que celui de l’EOS R1, qui redéfinit les codes du genre. Pour autant, il s’avère très confortable à utiliser, offrant une visée claire et fluide. D’autant que la rafale s’effectue sans blackout (voir plus loin) !

La visée est aussi assurée par le grand écran LCD monté sur rotule de 3,2 pouces. Et, comme sur l’EOS R5 (Mark I), le petit écran de contrôle en noir et blanc est présent sur la tranche supérieure. Le déclencheur est accompagné par une molette crantée et le bouton M-Fn. Présente sur tous les boîtiers depuis l’EOS R, elle donne accès à un mini-menu très pratique. Un bouton dédié à l’enregistrement vidéo est également de la partie, ainsi qu’une touche dédiée au rétroéclairage du mini-écran.

La face arrière de l’EOS R5 Mark II est très similaire à celle de son aîné. Le bouton SET est entouré par une roue crantée. Le « vrai » changement ergonomique se situe davantage sur la tranche supérieure. Comme sur l’EOS R6 Mark II, le commutateur photo/vidéo est placé à gauche du viseur. À droite, le bouton Mode est entouré par une roue « banalisée » – qui est accompagnée par le commutateur On / Off / Lock.

Last but not least, une tally lamp (lampe témoin) est présente à gauche du viseur, à l’avant du boîtier. Associée à cadre rouge s’affichant à l’écran, elle indique visuellement que l’enregistrement vidéo est en cours.

Connectique complète et grips additionnels

Construit en aluminium, le Canon EOS R5 Mark II doit présenter une résistance avancée aux chocs et aux éléments. À ce titre, il est équipé de (très) nombreux joints d’étanchéité afin de résister aux projections d’eau et de poussière.

En outre, Canon a (beaucoup) insisté sur la dissipation de la chaleur. Bien décidée à ne pas rencontrer les mêmes problèmes de surchauffe que son prédécesseur, la marque a doté son EOS R5 Mark II d’un système de ventilation passive. Des aérations ont été installées sur le flanc et sous le boîtier pour faciliter la circulation de l’air. Pour aider encore plus le boîtier à dissiper la chaleur, Canon propose (en option, 519 €) le grip CF-R20EP équipé lui aussi d’un ventilateur, l’air étant envoyé vers le dessous du boîtier.

Côté connectique filaire, le Canon EOS R5 Mark II s’avère (très) bien équipé. Comme sur les autres hybrides plein format de la marque, les différents connecteurs sont rangés côté gauche. On retrouve ainsi un port USB-C 3.2 gen2, un « vrai » port HDMI type A, une prise micro, une prise casque et une prise synchro flash et une prise télécommande.

La tranche droite, quant à elle, abrite le double-slot pour cartes mémoire. Comme sur l’EOS R5 (Mark I), le 1er emplacement accueille les cartes CFexpress Type B, et le 2nd est dédié aux cartes SD UHS-II. Un choix pertinent, tant il permet de coupler les avantages de ces deux solutions de stockage (rapidité pour les cartes CFexpress, coût modéré pour les cartes SD).

L’EOS R5 Mark II est compatible avec le grip BG-R10 (compatible avec les EOS R5, R6/R6 II, R5 C). Toutefois, Canon dévoile deux nouveaux grips. Tous deux ajoutent un port Ethernet 2,5G BASE-T – mais l’un ajoute, en plus, un ventilateur destiné à aider à lutter contre la surchauffe du boîtier. Il s’adresse particulièrement aux vidéastes, la capture en 8K ayant tendance à fortement solliciter le boîtier.

La connectique sans-fil n’est pas en reste. L’EOS R5 Mark II est compatible Bluetooth 5.3 et Wi-Fi 6E – et est compatible MIMO (entrées multiples, sorties multiples) afin d’accélérer la transmission des données. Il ne dispose pas d’une puce GPS intégrée. Pour obtenir la localisation des images, il faudra passer par la synchronisation avec un smartphone, ou utiliser le récepteur Canon GP-E2 (avec l’adaptateur AD-E1). Une fois ces conditions réunies, l’emplacement de la capture de l’image devrait être directement inscrit sur nos images – sans nécessiter de smartphone.

Capteur 45 Mpx stacked et une excellente qualité d’image (à première vue)

Le Canon EOS R5 Mark II est le premier boîtier de Canon à marier la technologie de capteur stacked avec une définition élevée de 45 Mpx. La marque rouge et noir rattrape ainsi ses rivaux (Nikon et Sony en tête). Pour en savoir plus sur ce nouveau capteur, n’hésitez pas à lire notre article de présentation de l’EOS R5 Mark II.

Sur le terrain, ce nouveau capteur présente plusieurs avantages. D’une part, les 45 Mpx offrent (comme sur l’EOS R5) une grande latitude pour rogner ses images. D’autre part, ce capteur confère au boîtier une grande réactivité – et la qualité d’image semble particulièrement bonne.

La colorimétrie est très plaisante. Les tons de peau sont admirablement restitués. Enfin, le niveau de détails nous a paru très élevé – ce qu’il faudra évidemment confirmer lors d’un test plus approfondi.

Dual Pixel Intelligent AF et puce Digic Accelerator : un autofocus aux petits oignons

Côté autofocus, l’EOS R1 et l’EOS R5 Mark II concourent à arme égale. D’une part, tous deux misent sur le « Dual Pixel Intelligent AF » – la nouvelle génération de mise au point automatique. Mais surtout, ils sont dotés de la nouvelle puce Digic Accelerator. Dédiée au Deep Learning, ses algorithmes analysent en temps réel les éléments présents dans le champ. À la clé, une détection et un suivi du sujet encore plus rapides et précis.

Sur le terrain, les efforts de Canon portent leurs fruits. L’autofocus est particulièrement rapide. L’accroche du sujet (et de son œil) est quasi-instantanée, même lorsque occupe une très petite place dans le cadre.

Mise au point impeccablement faite sur l’œil du joueur au maillot rouge.

Dans le détail, l’autofocus de l’EOS R5 est capable de détecter/suivre les sujets suivants : 

  • Humains : yeux, visage, tête, partie supérieure du corps, corps entier
  • Animaux : yeux, tête et corps des canidés, des félins, des oiseaux et des chevaux
  • Véhicules : voitures de course, motos, avions et trains.

Le Canon EOS R5 Mark II bénéficie également des modes « Priorité à la personne enregistrée » et « Priorité d’action » – au même titre que l’EOS R1. Le premier permet à l’appareil de reconnaître et de suivre une personne dont le visage a été pré-enregistré (via une image sur la carte mémoire ou en prenant une photo). Un point que les photographes de sport – et de mariage – devraient particulièrement apprécier.

De son côté, le mode « Priorité d’action », très impressionnant sur le terrain, vient doper aux algorithmes la photo de football, de basketball et de volleyball. Ainsi, le boîtier est capable de reconnaître le ballon – et effectue la mise au point sur le visage du joueur ayant la balle à la main/au pied. Dès que la balle est transmise à un autre joueur, le système bascule automatiquement sur ce joueur.

Malgré la présence des deux joueurs en rouge dans le champ, la MAP est impeccablement calée sur l’œil du porteur de balle (maillot bleu).

Le but de la manœuvre : faciliter la capture d’images où la MAP est parfaitement calée sur le visage du joueur « principal » – et non sur les autres personnes dans le champ. Et force est de constater que ce système s’avère très précis – malgré la quantité de données envoyées par le capteur 45 Mpx. À tel point que l’on en vient à se demander, en miroir, pourquoi l’EOS R1 opte pour une définition assez « timide » de 24,2 Mpx…

Rafale à 30 i/s sans blackout dans le viseur

Oubliez les 20 i/s « seulement » de l’EOS R5 : grâce à son capteur stacked, son successeur monte à… 30 i/s avec l’obturateur électronique, et sans risque de déformations liées au rolling-shutter. Mais ce n’est pas la seule amélioration apportée par Canon.

En effet, l’EOS R5 Mark II offre une rafale sans blackout (voile noir lors de la capture de la photo). À la clé, un bien meilleur confort visuel. Un point que nous avions déjà noté (et apprécié) sur certains boîtiers concurrents (Sony A1 et A9 III, Nikon Z8 et Z9, Fujifilm X-H2S, notamment).

Par ailleurs, le boîtier dispose d’un mode « Pre-Shoot » très pratique, le boîtier étant capable de sauvegarder jusqu’à 15 images avant l’appui sur le déclencheur. À 30 i/s, l’appareil enregistre tout ce qui a précédé pendant 0,67s. À 15 i/s, le boîtier conserve tout ce qui s’est déroulé durant la seconde ayant précédé l’appui sur le déclencheur.

Au cours de notre prise en main, nous avons cependant noté 2 « vraies » limites.

D’une part, le buffer, sans être riquiqui, n’est pas énorme non plus : 200 JPEG, 93 RAW (vers une carte CFexpress) ou 86 RAW (vers une carte SD). En optant pour la capture RAW + JPEG (L), le boîtier peut capturer 62 images d’affilée. Évidemment, il est possible de ménager ses cartes mémoires en optant pour le RAW compressé et/ou en diminuant la cadence en rafale. Mais on aurait toujours apprécié un buffer un peu plus capacitaire

Sur nos images, nous n’avons pas observé de déformations liées au rolling shutter – ce qu’il faudra évidemment vérifier de manière plus approfondie. En revanche, le boîtier semble parfois sujet au phénomène de banding sous certains éclairages artificiels.

Retrouvez ci-dessous une sélection de photos capturées avec le Canon EOS R5 Mark II :

Conclusion

Nous arrivons au terme de cette (courte) prise en main du Canon EOS R5 Mark II. Évidemment, nous n’avons pas pu tester toutes les fonctionnalités de ce boîtier ultra-polyvalent. Mais le moins que l’on puisse dire, c’est que l’EOS R5 Mark II ne fait pas les choses à moitié.

Un Canon EOS R5 Mark II dissimulé derrière un (discret) objectif RF 85 mm f/1,2 L USM

Capteur rétroéclairé et empilé de 45 Mpx, rafale à 30 i/s, puce Digic Accelerator dopée à l’IA, nouveaux modes autofocus, contrôle de l’AF par l’œil, vidéo 8K 60p en RAW, stabilisation à 8,5 stops, extraction de photos de 33 Mpx d’une vidéo FHD… Les caractéristiques du Canon EOS R5 Mark II sont très impressionnantes – mais le boîtier demeure toujours très confortable et agréable à utiliser.

Ce faisant, la marque japonaise livre un boîtier particulièrement prometteur, pour les photographes comme pour les vidéastes, pour les fans de sport et d’action comme pour les spécialistes du mariage et de l’événementiel.

Le Canon EOS R5 Mark II est disponible au tarif de 4749 € nu. Les livraisons débuteront le 20 août 2024. Le boîtier sera également fourni en kit avec le zoom RF 24-105 mm f/4 L IS USM au tarif de 6049 €.

Vous pouvez le retrouver chez Digit-Photo, Miss Numérique, Digixo, Camara, Photo-Univers, IPLN, StudioSport, à la Fnac et dans les boutiques spécialisées.

Secrétaire général de la rédaction

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  1. Superbe appareil aux qualités époustouflantes…
    Mais pas pour les « vieux » soient ils amateurs experts depuis 45 ans!
    Trop de fonctions complexes…
    Quand on sait que c’est l’optique et l’oeil qui font la différence!
    Je demeurerais sur mon R7 II. Mon R7, mon vieux 7D MARK I et mon 700D…
    Puis, le tarif!!!!!
    Réservé aux « riches, très riches… »

    1. En regardant de plus près les caractéristiques., j’ai remarqué que le système de positionnement ne proposait que celui des us des ru et des jp, il n’y pas Galileo? je trouve ça un peu bizarre

    2. Merci pour votre professionnalisme je suis complètement accro à votre site très instructif et attractif.
      Que du plaisir !!!

    3. Je vous rejoint complètement Canon est bien trop loin des attentes de leurs clients historiques et les prix qu’ils pratiquent sont juste de la folie ;-(

  2. désolé mais je ne trouve pas les photos bluffantes. je parle évidemment de la netteté, de l’autofocus, etc
    peut être est ce mon oeil . je sais bien qu’ils sont en mouvement mais il y a quelque chose qui cloche (série basket)

    1. Bonjour MrR. Toutes les photos présentes dans cette prise en main sont issues des JPEG générés par le boîtier. Cela explique peut-être le manque de netteté que vous constatez. Dans tous les cas, un test complet est prévu prochainement.

  3. Impatient de ce nouveaux test egalement .. j espere on en apprendra plus sur les fonctions et rendu en macro .
    Merci

  4. Bonjour,
    pourriez-vous confirmer si oui ou non l’appareil est capable d’appliquer la localisation géographique des photos sans l’aide d’un smartphone ou de l’accessoire GP-E2 ?
    Dans le mode d’emploi en ligne sur le site de Canon, seuls sont citées les procédures pour jumeler le boîtier avec un smartphone ou avec le GP-E2.
    Merci pour votre aide.

    1. Bonjour Frédéric,
      Après vérification – les informations de Canon étant confuses à ce sujet – il apparaît que le Canon EOS R5 Mark II n’est pas équipé d’une puce GPS. Pour obtenir la localisation des images, il faudra passer par la synchronisation avec un smartphone, ou utiliser le récepteur Canon GP-E2 (avec l’adaptateur AD-E1), tous vendus séparément. Seuls les Canon EOS R3 et R1 sont dotés d’une puce GPS intégrée.