Après sa série Paris Invisible, Pierre-Louis Ferrer revient avec une série en deux parties, toujours à l’infrarouge et cette fois c’est le festival Rock en Seine qui est à l’honneur.
Grâce à sa série Paris Invisible, Pierre-Louis Ferrer s’est fait repérer par le responsable de la communication du festival Rock en Seine. Le jeune photographe accepte de travailler pour eux, il a carte blanche pour représenter ce festival comme il l’entend.
C’est dans un genre particulier, celui de l’infrarouge que Pierre-Louis Ferrer invite les spectateurs à découvrir ou redécouvrir le festival parisien Rock en Seine. A l’aide d’un Canon 6D dont le capteur a été « défiltré » pour pouvoir capter le rayonnement infrarouge, il réalise deux séries différentes. L’une au ton rouge vif, l’autre en noir et blanc, on distingue les deux univers qu’offre un festival, celui du jour et celui de la nuit.
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La première partie suit un chemin narratif linéaire, Pierre-Louis Ferrer souhaite montrer l’ensemble des activités proposées à Rock en Seine, on y voit donc les zones de débats mais aussi les stands de saut à l’élastique et bien sûr les concerts. L’infrarouge donne un côté rétro et fun aux photographies.
La deuxième partie réalisée avec un flash infrarouge a pour but de capturer un instant qui sera à la fois joyeux et inquiétant. On y découvre des festivaliers qui s’amusent dans une atmosphère bien sombre à travers douze photographies. Pierre-Louis Ferrer désirait montrer un autre angle, plus axé sur les festivaliers et l’ambiance que sur les artistes et les concerts. Pour cette deuxième partie, c’est en équipe qu’il travaille, accompagné d’Antoine Simonnet, un jeune réalisateur.
Pour retrouver l’ensemble du travail de Pierre-Louis Ferrer, rendez-vous sur son site web.
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