De 2016 à 2020, le photographe russe Nikita Teryoshin (né en 1986) a capturé l'univers singulier des salons organisés par les marchands d’armes. La série Nothing Personal – the back office of war nous offre ainsi un tour du monde tragi-comique, aux couleurs pop et aux flashs omniprésents. À découvrir jusqu'au 14 juillet 2024 au Festival Mesnographies.
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Baptiste est photographe et écrivain. Il apprécie particulièrement la photographie sociale et documentaire, ainsi que les pratiques contemporaines de la photographie qui cassent les codes du genre.
Irving Penn, figure emblématique de la photographie, a su marier avec brio la photographie de mode et une approche plus expérimentale, présentée dans le cadre de l'exposition Edge of Beauty dans son art. L'œuvre de Penn continue d'inspirer et de fasciner, offrant un regard unique sur la beauté, la forme et la composition à travers l'objectif photographique.
Nicolas Comment signe son retour à la Galerie Polka avec Blue movie, une incursion photographique sur la Côte d’Azur. Du 31 mai au 13 juillet 2024, ses images entre photographie de l’intime et une certaine esthétique empruntée au fauvisme et au cinéma rendent un hommage appuyé au mythique bleu méditerranéen.
Photographe, journaliste et historien de la photographie, Jean-Claude Gautrand fait partie des pionniers de la "photographie subjective". Au tournant des années 1960, il mène plusieurs expérimentations, caractérisées par des partis-pris graphiques forts. Les séries "Forteresse du dérisoire" et "Métalopolis" sont le fruit de ce travail avant-gardiste : elles font l'objet d'une exposition à la Galerie des Douches, à Paris, avec une sélection de tirages d'époque à découvrir jusqu'au 13 juillet.
Plus que quelques jours avant le début des Jeux Olympiques et Paralympiques ; et si le sport est à l’honneur, la culture n’est pas en reste. Dans le cadre de l’Olympiade Culturelle, plusieurs expositions photographiques en lien avec les jeux sont à découvrir à Paris et en région.
Les éditions EXB publient la première monographie française consacrée à Akihiko Okamura, en se focalisant particulièrement sur ses photographies nord-irlandaises. Une sélection d’images couleur et un texte de Pauline Vermare viennent apporter un éclairage inédit sur le photographe japonais, encore largement méconnu.
En partenariat avec le journal L’Équipe, la Galerie Roger-Viollet retrace une histoire photographique du sport féminin dans l’entre-deux guerres avec « Championnes ». À travers une sélection de 87 photographies inédites, provenant des archives du journal et des collections de la galerie, l’exposition entend replacer à sa juste place la pratique sportive féminine.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Musée de la Photographie de Charleroi sait y faire en matière d’expositions photo. Après Virginie Nguyen Hoang et Peter Knapp, c’est au tour de Laura Henno de se voir consacrer une exposition d’ampleur, pour un travail à la hauteur de cette ambition. Depuis 2017, la photographe s’installe plusieurs semaines par an dans une caravane au cœur d’une cité perdue dans le désert californien.
On le sait : l’année 2024 marque le 80e anniversaire de la Libération. À cette occasion, la ville de Saint-Malo accueille une exposition consacrée à Lee Miller, photographe et correspondante de guerre pendant le siège de la ville entre le 13 et le 17 août 1944. Une cinquantaine de photographies ont été sélectionnées et seront visibles du 18 juin au 29 septembre 2024 ; une manière d’étendre la reconnaissance tardive pour l’une des plus grandes photoreporters du 20e siècle.
« Artiste multimédia » : voilà comment est défini Thomas Mailaender, à qui la Maison Européenne de la Photographie consacre son exposition estivale jusqu’au 29 septembre. Une carte blanche sur les deux étages des Galeries qui fait la part belle aux expérimentations photographiques et visuelles, avec une approche comique voire subversive résolument avant-gardiste – et qui apporte un véritable vent de fraicheur.
Voilà une bonne introduction photographique aux JO de Paris qui commencent très prochainement. Avec « Divinement sport », la Galerie Polka réunit quelques images réalisées par le grand Jacques Henri Lartigue ; une sélection résolument sportive et rétro. Pour la plupart réalisées à la Belle Époque, dans l’entre-deux-guerres, les photographies exposées délivrent un aperçu d’une période bien particulière pour la pratique sportive en amateur.
La Galerie Taylor nous invite à un voyage visuel avec Irène Jonas, photographe et sociologue. Jusqu'au 29 juin 2024, vous pouvez découvrir ses photographies uniques, nous transportant à Istanbul, Rio, sur les rives de la Baltique et parmi les bouquinistes des quais de Seine. De plus, sa dernière série est publiée aux éditions de Juillet sous le titre : Bouquinistes de Paris – Les derniers mohicans.
Les Rencontres d’Arles reviennent pour leur 55e édition ! Du 1er juillet au 29 septembre 2024, commissaires d’exposition et artistes déploient leurs visions du monde autour de plusieurs approches : remous, esprits, traces, lectures parallèles et relectures. Petit tour d’horizon des principales expositions avant l’ouverture du festival – une sélection, comme toujours, non exhaustive et subjective, au regard de la grande diversité et densité du festival.
Henrike Stahl est la deuxième artiste à être invitée dans le cadre de la résidence INSTANTS, copilotée par Château Palmer et Leica. Pendant plusieurs mois, la photographe allemande a saisi avec une grande acuité le travail des vignerons du pays bordelais, et plus particulièrement une certaine jeunesse en plein apprentissage. Rencontre.