Arina Starykh explore dans ses photographies la corporalité, le subconscient, les relations et schémas familiaux. Son approche repose sur une certaine forme de photographie documentaire mise en scène pour se fondre avec l’autofiction. Avec Le sang est plus épais que l’eau (Blood is ticker than water), la photographe nous invite à franchir la porte de la maison familiale en Russie.