Votez pour Alexandra Oza, candidate de Phototrend aux Zooms 2025 du Salon de la Photo

Chaque année, les Zooms du Salon de la Photo célèbrent le talent émergent en photographie. Pour l’édition 2025, la rédaction de Phototrend a choisi de soutenir Alexandra Oza, une photographe franco-ukrainienne dont le travail argentique, poétique et engagé, explore en double-exposition les liens subtils entre nature et urbanité, réalité et rêve. Découvrez son approche sensible et votez pour votre coup de cœur !

Une photographie argentique et engagée

Avec une grande délicatesse, Alexandra Oza utilise la photographie comme un langage poétique pour interroger notre époque. Entre rêve et réalité, ses images ouvrent une réflexion sur des enjeux essentiels : changement climatique, urbanisation, place de l’humanité dans un monde en mutation. Plutôt que de dénoncer frontalement, elle propose une forme d’éveil visuel, subtil et profondément humain.

© Alexandra Oza

Les fleurs envahissent les murs, les feuillages se fondent dans les lignes de l’architecture. Nature et ville ne s’affrontent pas : elles dialoguent. Les végétaux ne sont jamais accessoires ; ils s’inscrivent dans une confrontation douce avec le bâti – comme une tentative de réconciliation entre notre quotidien urbain et le vivant. Ces images touchent autant par leur beauté formelle que par la profondeur du regard qu’elles suggèrent.

Alexandra Oza réalise chacune de ses œuvres avec un appareil photo argentique, en exposant d’abord une pellicule entière dans un environnement naturel, puis, des mois plus tard, en la réexposant dans une ville, souvent dans un autre pays. Sans montage ni retouche, la lumière, la chimie et le hasard composent ensemble ces photos en double-exposition. Ici, l’erreur devient poésie. Le hasard, un allié – parfois même, un co-auteur.

© Alexandra Oza

À travers cette démarche, la photographe nous rappelle que l’art peut réconcilier : entre le construit et le détruit, entre ce que l’on voit et ce que l’on oublie.

Qui est Alexandra Oza ?

Alexandra Oza est une artiste franco-ukrainienne basée à Paris, dont le travail explore les liens entre création artistique et enjeux de société. Formée aux beaux-arts à Kyiv, puis en sociologie de l’art à l’EHESS à Paris, elle développe une pratique photographique profondément ancrée dans une réflexion sur notre monde contemporain.

Portrait d’Alexandra Oza

Elle pratique la photographie argentique, un héritage de son enfance, sans recours à la retouche. Elle privilégie la sincérité du geste et l’intensité du regard. Par le biais de la double exposition, elle crée une métaphore visuelle pour interroger les grands enjeux contemporains tels que le changement climatique, le réchauffement global, l’urbanisation et le rôle de l’humanité dans la transformation du monde.

Son approche artistique, engagée, cherche à éveiller une conscience critique. Pour elle, la photographie ne se limite pas à représenter : elle doit questionner, relier et inciter à repenser notre rapport au réel.

© Alexandra Oza
© Alexandra Oza

Votez pour Alexandra Oza aux Zooms 2025

Les Zooms du Salon de la Photo récompensent chaque année deux photographes : l’un élu par la presse photo, l’autre par le vote du public. Ce dernier vote coup de cœur, c’est à vous de le désigner !

© Alexandra Oza

Votez dès maintenant pour Alexandra Oza en cliquant ici.

Voir le site d’Alexandra Oza / son compte Instagram

Bon plan : profitez de votre invitation OFFERTE au Salon de la Photo 2025
grâce à Phototrend en utilisant le code PTREND25.

Fondateur et rédacteur en chef

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  1. « elle doit questionner, relier et inciter à repenser notre rapport au réel » désolé mais j’ai assez de contraintes comme ça pour ne pas me faire imposer des diktats. Ce n’est pas à moi de dire aux autres photographes ce qu’ils doivent faire ni à eux de me dire ce que doit être la photographie. Je peux dire ce qu’elle est pour moi et écouter ce qu’elle est pour les autres mais le carcan non merci !
    Quant au discours écologique qui n’en finit plus et dont on a compris qu’il ne sert qu’à vendre le travail de ceux qui le tiennent mais absolument pas à convaincre la majorité qui roule avec des bagnoles lourdes comme des tanks et de pneus larges comme des pneus de tracteur c’est bon.

    1. J’ai bien conscience d’être un peu incisif dans mon propos, c’est volontaire , ceci dit il n’empêche que j’apprécie généralement la bonne qualité de vos articles ainsi que les photos d’Alexandra Oza qui ne sont pas dénuées d’intérêt.

      1. J’adhère largement à ce que vous écrivez sur la photographie et sur l’écologie à toutes les sauces. Je suis photographe autodidacte, vrai naturaliste, conservateur de la biodiversité…
        Naturalistement,
        Christian Conrad